Virginie
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Posté le : Lun 14 Août 2006, 18:46:29 Sujet du message: LA POLEMICA : Emergenza abitativa e boom .... |
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Article du Gazzettino du dimanche 13 août 2006 en page 2 :
LA POLEMIQUE
Urgence du logement et boom des hébergements touristiques, la Municipalité : "Il faut une vraie politique du logement"
Que l'adjoint Bortolussi se fasse à l'idée que le Palazzo Ravà Giustinian devienne un hôtel me laisse perplexe". C'est ainsi que s'exprime Massimo Da Re, chef de groupe de "La Margherita" dans la municipalité de Venise-Murano-Burano et président de la 4e commission (urbanistique, qualité urbaine, commerce, artisanat et transport), face à la demande de l'ACTV de transformer Palazzzo Ravà en une structure d'accueil afin de trouver des acquéreurs disposés à acheter cet immeuble de valeur. Il faut de la volonté, de la détermination, nous ne pouvons pas laisser faire, aussi par sérieux politique -affirme Da Re - nous sommes en train de parler d'une société de la Commune, il n'est pas admissible que cette administration, qui a comme 1er objectif le logement, puisse faire une opération de ce genre". Sur la question du changement de destination d'usage, la Municipalité, dans le passé s'est déjà exprimée, demandant la modification de la loi régionale 33. Pour cette raison, Da Re n'a pas accueilli avec enthousiasme les affirmations de l'adjoint du maire Giuseppe Bortolussi, selon lequel il n'est pas possible de mettre un frein au marché de l'immobilier jusqu'à ce que change la loi régionale. "Nous pourrons impliquer tous les organismes publics et religieux qui s'occupent du logement dans la ville - continue le chef de groupe - nous devons être courageux dans les prises de décisions importantes pour Venise et ses habitants et devons faire une vraie politique du logement. Bortolussi ne peut laisser faire, nous ne pouvons pas baisser les bras maintenant". Dans le même ordre de pensée, nous retrouvons le président de la Muicipalité Enzo Castelli. "Je partage et je concourrai à cette démarche, nous devons nous faire entendre afin d'interrompre le processus. Ce ne sera pas facile mais il ne faut pas jeter l'éponge; nous devons aller de l'avant. J'invite l'adjoint Bortolussi à dépasser ce moment de découragement."
Manuela Lamberti
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