il Campiello

[Blandine]

Genial,les sites: dans les favoris, tout de suite! Merci, W.L.

[Albert(o)]

TO avec mes p'tits camarades, Blandine...
faudra quand même qu'un jour je me risque à Torcello... encore faut-il que Venise soit programmée et ça...
c'est donc avec plaisir que je regarde le reportage des autres !

[Zen]

l'enchantement continue, bravo et merci

[Véra da POZZO]

Merci, Blandine et puis comme les autres, j'attends la suite....
Vous lire est un régal.

TO, le Querini est un endroit exquis...

En plus de tout ce qui vient d'être évoqué, il y a la bibliothèque qui est à taille humaine.

Il suffit juste de se faire confectionner une carte d'accès, c'est gratuit.

Les horaires sont pratiques, ouverte jusqu'à minuit, si le soir on en a pas trop pleins les pattes, il est agréable de venir y fureter et y prendre des notes...

En ce qui concerne Gabriele Bella, il n'y a pas mieux que le site de la fondation pour voir ces "pétrole sur le canevas :D " trés instructives et suggestives, c'est vrai que ce peintre est trop méconnu et peu d'ouvrages lui sont consacrés.
Je ne connait qu'un petit livre édité en français par Franco Maria Ricci (FMR).

[labeuquette]

[Blandine]

Oui, mais en italien ?

[wagon lits]

L'espoir est permis !
On avait visité en 2006 une expo temporaire au Quérini et la surveillante de salle très sympa parlait parfaitement français (elle avait passé plusieurs années en...Belgique :wink: )

http://www.querinistampalia.it/eventi/view.php?cms_pk=219&dir_pk=2




De même cet été, à la librairie du Querini, la caissière parlait quelques mots de plusieurs langues... (et propose à la vente un petit livret sur Gabriele Bella ...en anglais ou italien )

[Blandine]

[Blandine]

Suite et ... fin si j'ai le temps!

Nous en étions donc à la sortie du cher Querini …
Dehors, le temps est absolument affreux : pluie et vent violents, froid glacial. Je suis atterrée. L’amère réalité de la météo affecte aussi les lieux de rêve ? C’est possible une chose pareille ? Tout d’un coup je me mets à détester la terre entière, la planète et les systèmes dépressionnaires en particulier. On avance, courbés, impossible de jeter ne serait-ce qu’un regard autour de nous : la désolation s’empare de mon âme. Du coup, on se réfugie dans une osteria pour manger. Je regarde d’un air morose les faux tableaux pop au mur, vous savez celui où le grand canal est remplacé par une autoroute : tout pour me remonter le moral, quoi !

Bon, direction l’Accademia. C’est le meilleur moyen de rester enfermé le plus longtemps possible en bonne compagnie. Je vous fais la grâce de ne pas faire de reportage sur le musée que vous connaissez tous…
Question de journaliste : alors que préférez-vous ? Ah ! difficile de répondre, bien sur, difficile (et, vous que préférez-vous ?) et bien si, je sais, en fait. Il faut même, au risque de choquer affreusement certain, que j’avoue une chose : je me contrains à un docte train de sénateur dans les salles pour atteindre enfin, au fond, les salles de deux grands cycles, celui de la Croix et celui de Sainte Ursule… Et là je rentre dans la Venise d’autrefois, ah, si je pouvais seulement rentrer dans les tableaux …


Et puis bien sur, il y a la magnifique exposition Titien. Mais là je n’ose pas faire de commentaires ! Je laisse aux professionnels le soin d’en parler, pour éviter d’en dire des sottises … C’est un moment absolument unique et merveilleux.

Le lendemain, c’est le terrible dernier jour !
Celui où l’on voudrait retenir les secondes qui s’écoulent inexorablement comme des gouttes de plomb. La limite, c’est 16 h, il faut prendre le bateau à 16 h. Jusqu’à cette heure fatidique, on oublie, ok, on oublie. Toujours énormément de vent, mais plus de pluie. Il faut maintenant se laisser porter, se laisser glisser, arrêter sa tête, ne plus faire que sentir, se fondre, se diluer, se taire.



La lumière est bien froide …

Clin d'oeil à la gondole verte.

J’ai rendez-vous à 14 h à la Torre dell’Orologio. Il devrait y avoir une lumière correcte pour les photos, nous avons regardé cela au musée Correr avec le grand « ordonnateur » qui parle très bien français et qui a gentiment regardé sur le net pour trouver le jour le plus favorable. En fait, le jour le plus favorable aurait été le lendemain … merci, merci, je ne serais plus là…
En effet, la lumière revient pour la visite de l’Horloge. Mais ça, c’est du déjà vu !

Adio a la Piazzetta. Mon cœur reste ici. Je le retrouverai au moi d’août… Mélancolie interdite !

Ah je voudrais ne pas finir sur une note triste, mais revivre le départ, c’est une chose bien terrible ! (La vie est une dure lutte … dit-on entre pilotes ! ) Mais il faut partir pour mieux revenir et d’ici là, haut les cœurs, je survie grâce au Campiello, mille grâces lui soient rendues. :D :D :D

[dominique M.]

[Jas]

[Albert(o)]

je sens qu'au mois d'août, ça va déchirer ferme, les reportages, vu comme les premiers ont été illustrés et couchés sur papier...

merci Blandine et nous attendons les suivants ! :wink: :wink: :wink: :wink: :wink:

[Martine]

Décidement...quel bonheur de vous suivre, Blandine...
Merci, merci.
(mignonnes, tes petites pom-pom girls, Jas! :wink: )

[wagon lits]

Le Maestro et ses Jasettes !

Super votre dernière partie de récit de voyage Blandine ! Merci

[Barocco]

merci Blandine...
TO...avec mes amis campiellistes...
serai plus prolixe ce soir...
maintenant..les cloches m'appellent....