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H comme

 
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Danielle



Inscrit le : 17 Avr 2005
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Message Posté le : Dim 29 Mai 2005, 19:22:28    Sujet du message: H comme Répondre en citant

HAYEZ.......Francesco


Vénus et Armide ( Accademia)


A l’emplacement de l’église San Geminiano, démolie en 1807 sur l’ordre d ‘Eugène de Beauharnais, l’architecte Giuseppe Soli a édifié un corps de bâtiment- l’aile napoléonienne- pour relier les deux Procuratie. Le somptueux escalier d’honneur, la salle de bal et la salle du trône de cette aile ont été agrémentés de peintures à tempera par Francesco Hayez ( Danseuses et scènes mythologiques ).

Francesco HAYEZ (1791-1882) : Issu d'un milieu très modeste, ses études démarrent péniblement grâce à l'aide d'un oncle qui finance ses premiers cours de dessin. Il intègre ensuite l'académie des Beaux-Arts de Venise puis va étudier à Rome. Là, il est fortement influencé par Ingres, alors directeur de l'Académie de France à la Villa Médicis et par le sculpteur Canova qui l'encourage dans ses études. Son cercle d'amis comprend les compositeurs Bellini et Donizetti, des romanciers, des peintres bien évidemment. Il enseigne à l'académie de Brera à Milan. Ses premières tableaux orientalistes datent des années 1830, c'est dans les années 50-60 que ses plus beaux tableaux orientalistes sont exécutés.
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Danielle



Inscrit le : 17 Avr 2005
Messages: 7935
Localisation : Montigny-le-Tilleul

Message Posté le : Dim 29 Mai 2005, 21:14:17    Sujet du message: Répondre en citant

H..comme HEINTZ Joseph..


(b. ca. 1600, Augsburg, d. ca. 1678, Venezia)


http://www.wga.hu/frames-e.html?/html/h/heintz/joseph_y/
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livia



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Message Posté le : Lun 30 Mai 2005, 14:27:28    Sujet du message: h comme... Répondre en citant

Harry's Bar et Hemingway

Situé dans le sestiere di San Marco, le Harry's Bar était fréquenté notamment pas Ernest Hemingway. Unique en son genre, ce bar-restaurant fut fondé par Giuseppe Capriani en 1931. Depuis, l'ambiance est orchestrée par les Capriani, père et fils. Encore aujourd'hui, à 92 ans, Arrigo surveille tous les soirs la salle du rez-de-chaussée prolongeant le bar et le restaurant de l'étage. Les vénitiens y viennent le samedi prendre un verre ou déguster le carpaccio inventé par Giuseppe Cipriani dans les années 50. Parmi ses spécialités on trouve: le carpaccio, le Bellini (cocktail à base de jus de pêche blanche et de champagne), le Tiziano (autre cocktail)...



Ernest Hemingway

Au-delà du fleuve et sous les arbres
C'est précisément l'enjeu du roman vénitien d'Hemingway Au-delà du fleuve et sous les arbres (1950). Si ce n'est pas le roman le plus réussi, c'est du moins l'un des plus significatifs. Le récit se situe à Venise en 1946 et raconte le dernier amour d'un colonel américain qui est le portrait craché d'Hemingway. La hantise de la mort prochaine est effacée par la maîtrise de soi et la lutte avec le destin. Au contraire de La mort à Venise de Thomas Mann, ici point de solitude : le colonel a le contact facile, point d'abattement non plus : le colonel est un (com)battant pour qui tout engagement est une incitation au rêve. Plutôt que de sombrer dans la nostalgie ou l'amertume, le colonel vit passionnément l'instant présent. Si l'intrigue est simpliste, tout l'intérêt du livre réside dans les relations que le colonel entretient avec son environnement et, bien entendu, avec celle qu'il aime, la très jeune comtesse Renata.



Autre citation concernant le Harry's Bar:
«En sortant de chez Palmarin et voyant qu'il pluvinait, Chiara voulut me traîner de force (c'est à deux pas!) vers un autre "lieux saints", le Harry's Bar, où nul n'entre et dont nul ne sort sans que tout le monde le dévisage pour voir s'il est "quelqu'un".» L'Amant sans domicile fixe, p. 44.


Dernière édition : livia le Mar 31 Mai 2005, 22:54:16; Edité 2 fois
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Barocco



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Message Posté le : Lun 30 Mai 2005, 16:58:33    Sujet du message: Répondre en citant

H..comme HORLOGES..

suite bientôt... :wink:
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Lili



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Message Posté le : Mar 31 Mai 2005, 07:07:14    Sujet du message: Répondre en citant

2 fois doublée :? :? Shocked Shocked
Livia et Annette :? pour cause de forum indisponible toute la soirée. Bon je repars me creuser les méninges Rolling Eyes Shocked
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Lili



Inscrit le : 23 Avr 2005
Messages: 7651
Localisation : Nice

Message Posté le : Ven 10 Juin 2005, 17:42:01    Sujet du message: Répondre en citant

H comme Tour de l'Horloge

Située au nord de la place Saint Marc, elle a été bâtie à la fin du XV° siècle sur les plans de Mauro Codussi. L'édifice central, qui surplombe la porte des Mercerie, présente l'horloge, ornée de signes du zodiaque. Il est surmonté d'une terrasse où se trouve une gande cloche contre laquelle deux statues de géants, sculptées par Paolo Savin, frappent les heures : on les appelle les Mori (les Maures) en raison de la couleur foncée de leur bronze.De chaque côté d'une Vierge à l'Enfant, deux cadres rectangulaires font apparaître les heures et les minutes à la manière des horloges modernes lumineuses, sans cadran et sans aiguilles. Ils forment des portes par lesquelles sortent, toutes les heures pendant la semaine de l'Ascension, un ange et les Rois mages qui viennent s'incliner devant la Vierge. Le tout dominé par la statue d'un lion ailé sur fond étoilé.
Il fallut trois ans de travail à Paolo Rainieri et à son fils Carlo por mettre ce mécanisme au point : on prétend que le Sénat leur fit crever les yeux une fois leur ouvrage achevé pour qu'ils ne puissent plus remonter le même mécanisme ailleurs...

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Danielle



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Message Posté le : Ven 10 Juin 2005, 18:08:56    Sujet du message: Répondre en citant

Joseph HOFFMANN,
Architecte et décorateur autrichien (1870-1956). Elève d'Otto Wagner, il est un des représentants de l'Art Nouveau viennois, le Sezessionstil. Fondateur en 1903 des ateliers artisanaux Wiener Werkstätte, il en viendra vite à un style fort épuré comme Mackintosh. Il est le concepteur du palais Soclet à Bruxelles et........... du Pavillon autrichien situé dans les Giardini pubblici de Castello
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LAURETT



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Message Posté le : Lun 13 Fév 2006, 17:57:59    Sujet du message: H COMME ... Répondre en citant

HENRI III

Le 18 juillet 1574 Henri III honore Venise de sa visite il est reçu en tant que Roi de France car Charles IX vient de mourir. Au cours d'une semaine de festivités sans pareilles, il monte à bord du Bucentaure, il est reçu au Lido sous un arc de triomphe érigé par Palladio et décoré par le Tintoret et conduit en cortège au palais Foscari sur le grand canal.
Feux d'artifices, représentations théatrales et musicales, bals et réceptions, régates et banquets se succèdent jusqu'à l'apothéose finale, en présence de deux cents patriciennes dans la salle du Grand Conseil au palais des Doges.
HENRI III a dit " Si je n'étais pas Roi de France je voudrais être citoyen de Venise"
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Gérard



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Message Posté le : Ven 08 Fév 2008, 19:31:34    Sujet du message: H comme Répondre en citant

Henri de Bourbon .
H comme
Hommage aux Princes .
" En 1887, le prince Henri de Bourbon-Parme, comte de Bardi et sa femme, la Princesse Marie, fille du roi Ferdinand des Deux-Siciles partent pour un long périple en Orient. Ils ramèneront de leur voyage plus de 30.000 objets rares et précieux, témoins des civilisations qu'ils ont rencontrées . Ces objets sont pour la plupart exposés Ca'Pesaro depuis la création du musée en 1928 , là où se trouve aussi le musée d'Art Moderne (qui abrite une superbe collection d'oeuvres du XIXe et du XXe arrivées à venise par le biais de la Biennale).
Le Museo d'Arte Orientale représente une des plus importantes collections d'art japonais de la période Edo (1600-1868) en Europe, avec beaucoup d'objets des débuts de cette période malconnue (le Japon s'était entièrement refermé sur lui-même et seuls les Hollandais avaient des liens avec le pays). On peut admirer aussi dans de belles pièces de l'art indonésien et chinois. Mais quelle est l'histoire de cette collection ? Comment est-elle arrivée à Venise ? Les fondateurs ont donné au musée le nom de Marco Polo évidemment . Le prince de Bourbon-Parme, cadet de la famille qui règna sur une bonne partie de l'Italie avant l'unification sous l'égide de la famille de Savoie, était un grand voyageur, cultivé et passionné par l'Orient et l'Asie. Il était à l'Italie ce que son cousin le duc d'Aumale fut à la France. Un de ces princes savants, mécènes et esthètes qui firent à eux seuls bien plus que mille commissions ministérielles pour l'art et la culture...
Henri de Bourbon aimait à voyager. Quand à la fin du XIXe siècle il décida de se rendre en Asie, il prépara son voyage avec beaucoup de sérieux. Nanti d'énormes moyens financiers (la fortune personnelle du prince et de son épouse, née princesse royale de Bourbon Deux Siciles, les amitiés tissées avec des savants et des intellectuels , les relations avec les diplomates en poste à Pékin ou à Tokyo facilitèrent les choses). On dispose du carnet de voyages d'un des members de la suite du prince. Ces notes nous permettent de suivre presque pas à pas l'expédition. A son retour le prince ramenait des centaines de caisses contenant ces 30.000 pièces qui fond la collection du musée. D'abord installée au Palazzo Vendramin Calergi où résidait habituellement le prince quand il était à Venise (là-même où sa tante la duchesse de Berry habita et où mourut Richard Wagner, son locataire), en attendant un lieu d'exposition adapté, la collection faillit disparaître à la mort du prince en 1905. C'est un antiquaire de Vienne qui se chargea de la mise en vente. A la fin de la première guerre mondiale, la collection fut attribuée à l'Italie au titre des réparations de guerre. En 1928, une convention passée entre l'Etat et la Ville de Venise permit son retour sur les bords du Grand Canal. L'installation provisoire à la Ca'Pesaro, magnifique bâtiment légué à la ville par la comtesse Bevilacqua la Masa, dure toujours. L'Etat a acquis le palais Marcello dans la perspective d'une installation définitive entièrement dévolue aux arts orientaux et qui permettra de montrer la totalité de la collection dont beaucoup de pièces restent en réserve faute de place.
Ce musée que le touriste visite peu est un bijou. Non seulement pour la qualité des oeuvres exposées et le talent du prince qui sut assembler une collection de grande qualité, mais aussi à cause des lieux. Une grande bâtisse calme et retirée. Un silence de monastère. C'est un lieu que j'aime beaucoup. Allez-y, vous comprendrez ce que je voulais dire. Il y règne quelque chose de différent que la muséographie contemporaine ne sait plus traduire en dépit de la technique et des moyens employés. Ce côté parfois un peu en retrait, un peu démodé. L'impression que des objets dans leur vitrine va surgir l'esprit de gens venus de très loin auparavant. "
Extrait , par ailleurs tout à fait magnifique , du blog de Lorenzo .
30.000 pièces ramenées , qui ont tout d'abord traversé le Pacifique , puis ensuite l'Atlantique , pour atterrir si j'ose dire au palais Vendramin .
Quel voyage ma'zette !
Le trajet pour rejoindre Ca'Pesaro fut certainement moins long ; en fait tout dépendit des porteurs , on avait son Temps à cette époque épique et l'on prit soin de ne pas repartir par les passes .
Et de recommencer encore le voyage .
30.000 pièces à admirer et à comprendre ?
Question subsidiaire sans importance :
La beauté laiteuse des vieilles nacres rajoutées miroite-t-elle plus qu'elle n'attire vraiment ?
Le raffinement est-il fait pour ?
Le regard des uns à l'aune du Grand Canal .
Me faudra largement une année : bon , suis pas pressé ! Et très démodé !
Comme le Temps qui s'écoule au coin des croisées du beau palais .
Et qui ne retient plus .
Les Princes .
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Véra da POZZO



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Message Posté le : Dim 17 Fév 2008, 17:25:02    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Gérard de nous rappeler la génèse du fonds du superbe et inattendu musée d'Art Oriental de Venise.

Lorenzo, dont les posts de son blog sont souvent excellents, se mélange quelque peu les pinceaux dans les généalogies....


le comte de Bardi

Henri de Bourbon Parme, comte de Bardi est en fait le propre petit-fils de la duchesse de Berry. Celle-ci est décédée en 1870, c'est donc son fils, issu de son second mariage, Adinolfo Lucchesi Palli, duc della Grazia qui était le bailleur de Richard Wagner mort au Vendramin Calergi en 1883 (en fait, le compositeur était sous locataire du comte de Bardi).
Bardi résidait donc souvent chez son oncle et y exposa les quelques 30 000 pièces qu'il rapporta de son tour du monde.

Il partit faire son expédition en 1887 avec sa seconde épouse, Adelgonde de Bragance (1858-1946). La première, Louise de Bourbon Siciles était décédée en 1874, 3 mois après son mariage. (à noter que son frère ainé, Robert I de Parme avait épousé les soeurs des deux épouses de son frère et en avait eu ... 24 enfants, 2x12... Shocked )


Adelgonde de Portugal, duchesse de Guimarães

On connaît le déroulement de ce voyage par la relation qu'en fît le cousin germain du prince, le comte Enrico Zileri dal Verme degli Obbizi, benjamin de la petite cour globe trotteuse.

Le tour du monde débuta en septembre 1887 à Trieste, d'où le bateau princier, l'Adelgonda, rallia Sumatra via le Canal de Suez en un mois.
L'équipage visita l'Indonésie pendant un an avant avant de rejoindre Hong Kong et de visiter la chine pendant cinq mois.
De février à novembre 1889, le prince et sa suite visitèrent le Japon avec le rang et le protocole dûs à un ambassadeur (ça sert d'avoir des relations....) Il fut reçu par l'empereur.
Puis via Honolulu, l'Adelgonda toucha l'Amérique à San Francisco.
L'aventure se poursuivit en train par Chicago, Niagara et New York, avant d'atteindre l'Europe à Southampton le 15 décembre 1889....

Je rêve souvent à cette courte période unique de l'histoire qui va du second empire à la première guerre mondiale, où les riches oisifs cultivés pouvaient partir à la découverte de mondes inconnus par leur propres moyens. Razz


Henri de Bourbon Parme en guerrier japonais

D'ici peu, mais on est à Venise, la collection devrait rejoindre le palazzo Marcello sur le Grand Canal pour avoir plus de place et être intégralement exposée, mais elle va surement y perdre le côté surrané qui fait aussi son charme.

On avait déjà un peu parlé de tout cela lors d'une énigme.

http://forum-venise.hostonet.org/viewtopic.php?p=34208&highlight=bardi+pesaro#34208
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Chantal



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Message Posté le : Dim 17 Fév 2008, 20:17:08    Sujet du message: épouses Répondre en citant

j'ai du mal à comprendre la phrase
"les soeurs des deux épouses de son frère" !

puis-je avoir des précisions ? ça fait très Riquet à la houppe sans complément d'infos...
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Véra da POZZO



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Message Posté le : Dim 17 Fév 2008, 20:35:52    Sujet du message: Répondre en citant

Laughing Laughing et bien les deux frères Parme se sont chacun mariés deux fois et à chaque fois avec des soeurs. (les premières Bourbon Deux-Siciles, les secondes Bragance)

j'avoue que sur ce coup là, je n'étais pas limpide...
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Chantal



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Message Posté le : Lun 25 Fév 2008, 15:28:26    Sujet du message: soeurs Répondre en citant

là c'est plus clair, il n'en reste pas moins que c'est une étrange attitude de leur part, comme si l'un collait absolument à la vie de l'autre en s'y conformant et en le copiant ! une fois, bon d'accord, ça existe ailleurs, mais deux fois, ça sonne pathologique...
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Véra da POZZO



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Message Posté le : Lun 25 Fév 2008, 17:45:25    Sujet du message: Répondre en citant

:wink:

En l'occurrence, rien de pathologique me semble-t-il, mais juste une politique dynastique.

Après 1860, les Bourbon-Parme comme les Bourbons-Siciles ou les Bragance font parties de ces rares familles légitimistes catholiques et détronnées. Le vivier de princesses à marier est très réduit et il n'est alors pas question que le prince épouse une bergère... Si vous ajoutez à cela des considérations politiques (les familles régnantes ne veulent pas trop s'allier à des familles "sans avenir"), de consanguinité, de confessions religieuses ou plus trivialement purement patrimoniales, le "choix" est encore plus restreint.
cqfd
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