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Lili
Inscrit le : 23 Avr 2005 Messages: 7651 Localisation : Nice
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Posté le : Mar 30 Jan 2007, 00:07:41 Sujet du message: le 30 janvier |
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le 30 janvier 1721 :
Naissance à Venise du peintre Bernardo Bellotto
Il était le neveu et l'élève du fameux vedutiste Antonio Canal, et comme lui il portera le surnom de Canaletto
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Pierre C
Inscrit le : 11 Jan 2007 Messages: 561 Localisation : Seine et Marne
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Posté le : Ven 16 Mars 2007, 13:48:31 Sujet du message: le 30 janvier |
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Mort du peintre Bernardo BELLOTTO à Varsovie le 17 octobre 1780
Auteur de "Scuola di San Marco" situé à la Galleria dell'Accademia
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Pierre C
Inscrit le : 11 Jan 2007 Messages: 561 Localisation : Seine et Marne
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Posté le : Mar 10 Juil 2007, 10:38:52 Sujet du message: le 30 janvier |
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le 30 janvier 1881
Son père, Natale Schiavoni lui donne ses premiers enseignements sur la peinture. En 1814 il réussit à s'inscrire à l'académie de Brera à Milan, il trouve pour maître Sabatelli. Pendant quelque temps il s'établit avec la famille en Autriche où il fréquente l'académie de Vienne. Après l'expérience de l'académie viennoise il s'inscrit à l'académie vénitienne.
Heureux, comme son père est un artiste très connu dans les milieux haut placés, en réalisant aussi quelques oeuvres pour la cour de l'empire russe. Le Schiavoni étudie continuellement les techniques de la Renaissance, avec un intérêt spécial pour la peinture de trois grands Maîtres: Veronese, Titien et Raffaello. Au-delà aux siennes thématiques il réalise quelques copies de peintures de la Renaissance vénitienne aussi.
La grande duchesse Elena Pulowna (Ca' Pesaro) |
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Catherine C.
Inscrit le : 21 Déc 2006 Messages: 697 Localisation : Yvelines (78)
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Posté le : Mer 11 Juil 2007, 09:43:04 Sujet du message: |
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Pouvez vous Pierre ajouter 2 petites précisions :la date du 30 janvier 1881 correspond je suppose au décès du peintre mais ce décès a-t-il eu lieu à Venise ? D'autre part quel est le prénom du peintre en question car vous précisez seulement le prénom de son père Natale ?
Merci d'avance de votre réponse. Je voulais vous dire que j'aime beaucoup le tableau de la Grande Duchesse Elena Pulowna; merci de nous l'avoir transmis :D |
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Catherine C.
Inscrit le : 21 Déc 2006 Messages: 697 Localisation : Yvelines (78)
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Posté le : Mer 11 Juil 2007, 09:47:01 Sujet du message: |
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Que je suis sotte! J'avais oublié qu'on peut trouver la réponse pour le prénom en cliquant sur les propriétés de la photo. Voilà c'est fait il s'appelle Felice |
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Pierre C
Inscrit le : 11 Jan 2007 Messages: 561 Localisation : Seine et Marne
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Posté le : Sam 01 Sept 2007, 21:09:35 Sujet du message: le 30 janvier |
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le 30 janvier 1698
Mort à Venise du compositeur Antonio SARTORIO, né à Venise en 1630
Compositeur d'opéras vénitien des années 1660 et 1670 il fut aussi Kapellmeister du duc italophile Johann Friedrich à la cour catholique de Hanovre (1665-1675).
Il conserva ses relations - et même son port d'attache - à Venise, où il passa souvent l'hiver durant ses années à Hanovre, y recrutant ostensiblement des musiciens pour les productions musicales de l'année suivante. En 1672, il passa l'année entière à Venise, composant et produisant trois opéras, "L'Adelaide", "L'Orfeo" et "Massenzio" (créé au début de 1673).
Il prétendit avoir composé Massenzio (ouvrage contenant 78 airs et duos) en treize jours après le retrait de l'opéra de Cavalli du même nom. En 1667, son double opéra "La prosperita d'Elio Seiano" et "La caduta d'Elio Seiano" fut représenté durant le carnaval de Venise (le librettiste, Minato, souhaitait qu'ils fussent donnés en deux soirées successives, mais Sartorio et les chanteurs s'y opposèrent).
En 1676, il retourna définitivement à Venise et devint vice-maestro di cappella à San Marco. La même année, son opéra héroïque "Giulio Cesare in Egitto" fut donné au Teatro San Luca (où l'avaient été la plupart de ses opéras antérieurs).
Quatre autres opéras suivirent encore, et un cinquième, "La Flora", fut achevé par Marc Antonio Ziani et représenté au Teatro San Angelo à la fin de 1680.
Il était un compositeur doué pour les airs, à l'aise dans un grand nombre de formes et d'émotions, mais au meilleur de lui-même dans ses lamenti sur basses obstinées, ses airs de trompette (il utilisa souvent les trompettes dans ses sinfonias également) et ses juxtapositions de personnages héroïques et comiques.
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