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Les fortins de Venise

 
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Blandine



Inscrit le : 24 Fév 2008
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Message Posté le : Sam 18 Juil 2009, 22:09:01    Sujet du message: Les fortins de Venise Répondre en citant





Présentation de l'éditeur
Ce récit est le roman d'un tableau : une oeuvre clé mais énigmatique de la Renaissance italienne, " L'Amour sacré et l'Amour profane ", peint par Titien à Venise. Une hypothèse actuelle en fait un tableau de fiançailles. Mais qui sont les fiancés ? Comment comprendre que Laura Bagarotto, jeune femme noble de Padoue, arrivée à Venise en 1509, dépouillée de ses titres et de sa fortune pour trahison envers l'État, soit autorisée à se fiancer au Grand Chancelier de la République en 1514 ? L'Histoire étant muette sur ce point, il fallait un roman pour inventer une explication. Un roman qui évoque les guerres d'Italie, qui fait revivre la Venise de la Renaissance, depuis ses bas-fonds, ses lieux de plaisir, la vie quotidienne de ses rues, jusqu'à l'intérieur de ses palais, de ses fêtes, des assemblées politiques et qui évoque les peintres et les grandes figures de ce temps. Un roman documenté, nourri de vérité historique, de vérité psychologique, de sensibilité à l'art et de poésie. Les oeuvres d'art les plus obscures trouvent une explication plausible et romanesque, puisque le destin rêvé de Laura Bagarotto, à travers drames, complots et assassinats, est aussi une belle histoire d'amour.

Biographie des auteurs
Ingénieur chimiste, Docteur ès Sciences Physiques, Pierre Legrand poursuit sa carrière professionnelle à Bruxelles, à la direction européenne d'une multinationale, en tant que Directeur Marketing et Technique. Il représente sa Compagnie et l'Industrie Chimique Européenne pour les problèmes environnementaux auprès de la Comission Européenne à Bruxelles. Passionné d'Histoire et de Littérature, doté d'un goût pour l'analyse et l'investigation scientifique, historique et bibliographique, d'un grand talent d'imagination, il assure le scénario. Claudine Cambier, après des études classiques, est licencié ès Lettres romanes, Agrégée, Professeur de Lettres et d'Histoire dans l'Enseignement belge. Passionnée d'Art, d'Histoire et de Littérature, avec un goût certain pour la création au sens large, ses talents artistiques s'expriment principalement en sculpture (terre, bois, métal, bronze), et en tout domaine où peuvent se retrouver l'invention et la recherche du beau. Elle assure l'écriture.



De nos jours. Jean achète, dans une vente de charité, une copie du tableau de Titien « l’amour sacré et l’amour profane »

Alors, l’enchantement commence et, avec lui, la recherche fiévreuse de son histoire.

« …quelque chose de magique émanait de cette toile, quelque mystère s’en échappait, sombre rayonnement qui me pris de plein fouet, paralysant et exaltant tout à la fois mon esprit et mes sens … »

Cette recherche est le « cadre » de l’histoire, recherche trépidante et tout à fait passionnante … mais sur laquelle je me permettrais de souligner la facilité un rien déconcertante avec laquelle les solutions surviennent … avec la même magie qui émane de la toile. Jean trouve les bonnes archives, Jean clic sur internet, Jean rencontre juste la bonne personne, mais enfin, on lui pardonnera de vouloir arriver très vite à nous conter l’histoire de Laura.
A parte : on se dit en lisant cela que … si le rallye c’était aussi simple, y aurait plus qu’à !!!

Revenons en donc à Laura, née Bagarotto, épouse Boromeo, dans cette bonne ville de Padoue, en 1509.
Sur fond de ligue, on s’étripe dans toute l’Italie, Louis, Maximilien, Jules, mais aussi, l’affreux Gritti, et la Palisse et Bayard. Jules hurle qu’il fera de Venise un village de pécheurs, ce à quoi l’ambassadeur Pisani répond qu’alors, Venise fera du pape un curatello. Bref, on s’échange des gracieusetés.
Sur ce, il prend à Gritti l’idée de pendre le père et le mari de Laura. La même nuit, sa mère meurt de froid sur un banc et on la jette d’un coup de pied dans le canal. Laura est emmenée comme prise de guerre par la soldatesque à Venise. On le voit, le siècle ne faisait pas que dans la dentelle de Burano …

De ce point de perspective bas, Laura va se hisser, grâce à sa beauté, son intelligence et sa vaste culture classique à l’enviable place de première cortegiana onesta, puis, retrouvant son statut de patricienne, s’épanouir sous l’or des palais vénitiens.

Et … dans la lumière de son atelier maestro Bellini discute avec Sabellico, le censore della stampa, Tiziano et le grand Giorgio, sur l’échafaudage des Tedeschi, achèvent la peinture à fresco qui le décore, Alfonso, à Ferrare, rêve de canons et d’un festin des dieux. On danse dans les palais, on badine avec Pétrarque, on convoque Plutarque et Sénèque, Virgile et Ovide, Caton et Hérodote, on achète ses livres chez Aldo Manuzio.

Et … l’intrigue déroule l’écheveau de sa vengeance.

Un grand roman. Plus de 700 pages, une écriture alerte, une histoire menée de main de maître : suavité cruelle, sensualité, intelligence aigue, violence et douceur, toute la richesse de la vie à Venise en ce début du cinquecento.

Une documentation historique stricte n’empêche pas la liberté créatrice des auteurs, il faudra y donner votre adhésion : la belle Vénus endormie n’est pas de Giorgione qui n’est, d’ailleurs pas mort de la peste, mais d’une fin bien plus belle, le tableau de Jean cache un redoutable secret, le blason de Laura est plus folklorique qu’héraldique (confirmation de Véra), mais ceci est le jeu du roman, et, justement, nous sommes dans un roman !

Et, pour finir sur la vie des courtisanes, ce lien, retrouvé sur le forum :

http://forum-venise.hostonet.org/viewtopic.php?t=1895&postdays=0&postorder=asc&start=0

Bonne lecture !!!

PS: ce matin, je trouve aussi ce lien avec l’histoire d’un tableau disparu de Titien et les courtisanes qui servaient de modèles aux peintres du XVIème … Nous sommes dans le sujet !!!

http://forum-venise.hostonet.org/viewtopic.php?t=672&highlight=courtisane


Dernière édition : Blandine le Ven 20 Fév 2015, 12:38:35; Edité 3 fois
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Zen



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Message Posté le : Dim 19 Juil 2009, 05:55:02    Sujet du message: Répondre en citant

Ca, c'est de la fiche de lecture ! Merci Blandine Razz
mais dis moi, une petite chose m'intrigue... la fille, elle est pas un peu trop jolie ? un peu trop intelligente ? un peu trop, trop ... ?
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Blandine



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Message Posté le : Dim 19 Juil 2009, 09:48:44    Sujet du message: Répondre en citant

Aaaaaaah, Zen :D :D :D

Laura est la parfaite héroïne de roman : un destin crueeeeel, une beauté sans pareille et de multiples talents, l’intelligence, la culture, la sensibilité aux arts et tous les arts de l’amour.
Mais, comme je l’ai dit, nous sommes dans un roman et si Laura recelait quelque médiocrité, nous en serions assurément déçus … :? Razz
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Blandine



Inscrit le : 24 Fév 2008
Messages: 5832
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Message Posté le : Dim 28 Sept 2014, 15:11:38    Sujet du message: Répondre en citant

Le temps a passé, les années, avec dans un recoin de l'esprit, cet extraordinaire roman dont je ne lisais pas la suite ...

Et la suite était parue pourtant, un tome 2 et 3 et puis encore 4 et 5, de quoi reculer devant l'amoncellement des pages en retard et s'effrayer quelque peu de quatre tomes aussi considérables !





Et, cet, été, voila que je les commande enfin et que je retrouve, avec admiration, les personnages des Fortins de Venise. Bien sur, je ne me souviens plus vraiment dans le détail du premier opus, mais, à la lecture, les souvenirs reviennent et Laura resurgit, intacte, magnifique. Le grand chancelier Nicolo Aurelio, humaniste, philosophe, homme politique d'exception, déploie, dans ces deux volumes, les talents de son esprit aux côtés de son épouse, Laura, la signora de Limena.

Plus historiques que le précédent, ces deux récits nous permettent de vivre au plus près l'histoire de Venise, au cœur même du pouvoir, au sein du conseil des dix, dans les salons des palais éclairés à giorno où l'on discute avec élégance sur la situation politique si délicate de Venise, mais aussi sur la terra ferma avec le développement de l'agriculture et des villas, dans les somptueux jardins de Casale. Titien nous invite dans son atelier, tandis que François et Charles s'affrontent en Italie. Les lansquenets du sac de Rome sonnent le glas de la Renaissance et des espoirs des humanistes dans un monde pacifié par la culture et l'intelligence des textes anciens.

A Casale, Nicolo tance son fils Pietro en lui citant Saint Thomas, l'Aretin partage avec nous sa table, qu'il tient ouverte à tous les beaux esprits, depuis qu'il s'est installé dans la Sérénissime. Andrea Gritti, celui là même qui a fait pendre le père et le mari de Laura lors de la prise de Padou, Andrea Gritti devient le Doge que l'on sait et son fils, Alvise (oh, mais c'est lui, notre question de rallye), Alvise, donc, dans son palais de Constantinople, devient le troisième personnage de l'empire turc. Entre deux monde, vêtu d'un somptueux pourpoint vénitien et d'un caftan turc brodé d'or, il dirige le monde, commerce et rêve déjà de la Hongrie. Soliman s'avance vers Vienne, les îles passent de Venise au Turc et du Turc à Venise, tandis qu'on louvoie entre l'Empire de Charles, l'alliance avec François et le commerce avec la Sublime Porte.

Savamment documenté, émaillé constamment de citations historiques tirées des chroniques de Sanudo et des correspondances, ces deux volumes se lisent avec passion. On y apprend une foule de détails sur l'histoire, la vie quotidienne et les hommes qui ont fait le cinquecento. Vraiment magnifique.

coeur
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Blandine



Inscrit le : 24 Fév 2008
Messages: 5832
Localisation : Rennes

Message Posté le : Ven 20 Fév 2015, 12:42:40    Sujet du message: Répondre en citant





LE BRULOT DE CLISSA 1531-1533

Depuis 1530, la paix de Charles-Quint s'étend sur l'Italie où, après trente ans de ravages de la soldatesque française, italienne et impériale, le blé peut enfin pousser.

A présent, grandit à l'est la menace turque : Soliman le Magnifique se rapproche de Vienne à travers la Hongrie. Cependant, Venise, payant tribut au Sultan, continue à commercer sur mer avec le Levant, sans pour autant échapper à la piraterie de tout bord.
En 1531, Pietro, le fils de feu le Grand Chancelier de Venise Nicolo Aurelio et de la Noble Dame padouane Laura Bagorotto, découvre le secret de sa filiation et le passé sulfureux de sa mère. A Florence où il se précipite, l’attendent d’autres révélations. C’est assez pour que Pietro décide de tourner le dos à la teraferma et de s’engager dans l’aventure maritime.
Ce quatrième volet de la saga Cinquecento nous entraine loin de Venise sur les routes de l’Italie et de la Hongrie et surtout sur la Méditerranée où les galères de la Sérénissime voyagent entre les colonies de Dalmatie et de Grèce, jusqu’à Chypre et jusqu’aux Echelles du Levant.
Pietro s’affirme parmi l’hostilité des uns et l’amitié profonde des autres, connait la passion, s’expose aux dangers avec la témérité de sa jeunesse. Mais, un jour, peut être, fait-il le pas de trop …


LE CAPTIF DE RAGUSE 1532-1537
Ce cinquième volet de la saga Cinquecento est le roman de Pietro. Le fils de feu le Grand Chancelier de Venise Nicolo Aurelio et de la Noble Dame padouane Laura Bagarotto est le vénitien typique de la Renaissance : entreprenant et audacieux, doué pour le commerce et la diplomatie.
Son aventure s’inscrit dans le contexte d’une époque où, bien que la paix soit signée entre Charles Quint et François Ier, leur guerre continue sournoisement, sur terre comme sur mer, d’autant plus que Soliman le Magnifique, tout en poursuivant une politique personnelle, est sollicité par le camp français.
Venise est plus que jamais partagée entre le parti de l’Empereur et celui du Roi de France. Pietro, engagé dans l’amitié de Ludovico Gritti et du grand Vizir, se trouve au cœur de ce débat et assiste de près à toutes les luttes pour le pouvoir : à Venise, en Hongrie, et jusqu’en Perse dans l’entourage de Soliman.
Mais pour être témoin de grands événements, il n’en est pas moins un héro attachant qui vit au quotidien son aventure personnelle derrière laquelle se profilent toujours les ombres de sa mère et du Doge Andréa Gritti, celle de l’état de Venise qui mène sa politique occulte et surtout celle d’une femme qui hante ses pensées.


Voici donc la suite de Cinquecento qui nous entraine loin de Venise vers Raguse et Candie et jusqu’à Constantinople, la Perse et le Levant. On embarque avec Pietro sur les bateaux de Venise qui sillonnent l’Adriatique et la Méditerranée. La vie à bord y est minutieusement décrite, remarquablement évocatrice. Les Uscoques guettent le passage des lourds chargements prometteurs de riches butins. Les commerçants vénitiens négocient âprement sur les marchés méditerranéens les étoffes, les pierres précieuses, le blé, le cuir et la teinture. On découvre la vie à Candie et dans les comptoirs, les fastes de la Sublime Porte, la difficulté de commercer malgré la guerre, les intrigues de palais et de formidables personnalités comme celle d’Alvise Gritti. C’est érudit, passionnant, intelligeant, enthousiasmant : une fresque romanesque et le souffle de l’histoire.
Moins présente, Venise n’en est pas moins au centre de l’histoire. Titien peint le portrait de Charles Quint, le conseil des Dix louvoie entre les français, les impériaux et les turcs … et décide, sotto voce, de faire mourir Da Canal et d’offrir sa tête au Grand Vizir en gage de bonne fois vénitienne. Et, le soir tombé, Laura et le Doge Andrea Gritti, enfin réconciliés, discutent de politique, de philosophie et de l’avenir du monde.

coeur

Et, le dernier tome vient, ENFIN, de paraître !!!
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Jas
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Messages: 11902
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Message Posté le : Ven 20 Fév 2015, 13:00:52    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Blandine ... ça me tente Rolling Eyes
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Blandine



Inscrit le : 24 Fév 2008
Messages: 5832
Localisation : Rennes

Message Posté le : Mar 17 Mars 2015, 23:05:30    Sujet du message: Répondre en citant



Le COMPLOT de SAN DONATO.

Dans l’Europe de 1537, la paix est menacée entre Charles Quint et François 1er. En Méditerranée, entre Venise et les Turcs. La République Sérénissime de Venise doit choisir entre François et Charles, entre le grand large et la terraferma, entre le commerce et la croisade ! Ce dilemme partage plus que jamais Patriciens, Sénat, Conseil des Dix. Tous les moyens sont bons pour faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre. C’est ainsi qu’à Venise, tout devient lutte de factions, conspirations, machinations, guerre secrète qui n’hésite pas à éliminer ses propres complices... Ce sixième et dernier volume de la saga CINQUECENTO nous entraîne dans les palais de Venise où fleurissent les intrigues, en Hongrie, sur la mer Adriatique, où fait rage la violence des combats. Il nous plonge dans l’abîme des passions humaines qui, entremêlant amour et ambition, forgent les destinées individuelles de Pietro, Costantino, et Nicolino. Une fois jeté sous la meule, comment le grain de blé peut-il éviter d’être broyé par la pierre ?

Le voici, enfin, ce dernier tome de la formidable fresque du Cinquecento !!! Plus de 3 000 pages qui déroulent l'histoire mouvementée de la Sérénissime de 1509 à 1542. Les cinq premiers tomes sont édités chez l’Astronome, alors que celui-ci l’est chez les Editions Legrand … Est-ce l’auteur lui-même, je me le demande, car cette version est plus tchip que les précédentes qui étaient enrichies d’illustrations et de cartes. Celui-ci a des allures d’édition de thèse universitaire, mais enfin, cela n’ôte rien au propos qui est toujours étincelant.

Même si Pietro est toujours là et participe à la bataille de Préveza qui est le préambule de l’histoire, ce sont ses demi frères, Nicolino et Constantino qui sont les deux personnages principaux de ce derniers tome. Venise, à la suite de pressions organisées par Charles Quint, participe à la Ligue contre les turcs. Mais Andrea Doria, le généralissime de la flotte qui voue une haine tenace à Venise, à l’instar de l’Empereur, laisse la flotte vénitienne en mauvaise posture et perd la bataille. Le conseil des Dix, qui veut la paix avec la Sublime Porte afin que le commerce reprenne, n’hésite pas à utiliser les deux frères pour en hâter le dénouement. Un complot s’ourdit, alors que le sénat reste partagé. Des gondoles glissent dans la nuit silencieuse, l’ambassadeur de France transmet les secrets des délibérations au Grand Vizir, on chuchote dans les brocards et la soie. L’Aretin mène le parti français, Titien peint le portait de la petite Strozzi et Pietro Bembo déclame l’oraison funèbre du Doge Andra Gritti qui rejoint son tombeau de marbre à San francesco della Vigna.

Toujours aussi passionnant, parfaitement documenté et intelligemment mené le récit nous conduit vers la fin, mais peut-il y avoir une fin ? D’ailleurs, le mot est barré, alors, il y aura peut être une suite, la fin de l’histoire de Venise ne peut se concevoir …

Mais pourquoi ce formidable roman qui allie merveilleusement histoire, connaissance, intelligence et aventure a-t-il eu si peu d’écho ?
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ear_78



Inscrit le : 13 Oct 2009
Messages: 613
Localisation : Saint-Arnoult en Yvelines, 78

Message Posté le : Mer 18 Mars 2015, 10:56:25    Sujet du message: Répondre en citant

Les Éditions de l'Astronome n'est pas une maison très connue... Tu ne verras jamais un de ses ouvrages édités mis en avant dans une émission ou une chronique littéraire.

Comme la fin n'en est pas une vraiement, ce tome 6 ne clôturera peut-être pas ce cycle Cinquecento... Wink
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