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Une princesse russe de San Michele

 
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Mer 16 Fév 2011, 00:41:15    Sujet du message: Une princesse russe de San Michele Répondre en citant

J'ai trouvé aujourd'hui qui est une des princesses russe qui loge à San Michele in Isola.
Princesse Catherina Petrovna Troubetzkoy (1816-1897) née Moussine Pouchkine, son mariage forcé fit scandale à l’époque. Alors qu’elle était demoiselle d’honneur à la cour de Nicolaï I, le tsar lui a imposé en 1838 le mariage avec Sergeï Troubetzkoy alors qu’elle était déjà enceinte de plusieurs mois des œuvres de son souverain.
Dès la naissance de sa fille Sophie, le couple s’est séparé, et Catherine est partie vivre en Europe avec la fille bâtarde du tsar.

Sophie princesse Troubetzkoy (fille de Serge, prince Troubetzkoy et de Catherine Moussine-Pouchkine) s'est mariée à Saint-Pétersbourg le 7 janvier 1857 avec Charles Auguste Louis Demorny (Beauharnais) n. 15 septembre 1811 d. 10 mars 1865
Sophie est décédée à Paris en 1896


La même chose en VO : Екатерина Петровна Мусина­-Пушкина (1816–1897) – фрейлина, «главная павловская красавица», по выражению О.С. Павлищевой, дочь генерал-лейтенанта Петра Клавдиевича Мусина­-Пушкина (1766–1834). Николай І. в янв. 1838 «насильно обвенчал» корнета Кавалергардского полка кн. Сергея Васильевича Трубецкого (1815–1859) со своей фавориткой с весьма ощутимым сроком беременности. История этой женитьбы наделала в свое время много шума. С. А. Бобринская, двоюродная сестра Трубецкого, писала 1 февр. 1838 г. своему мужу: «Нужно тебе рассказать последнюю новость. Ту, которая занимает все умы, как когда-то наводнение, как пожар Дворца, как смерть Пушкина год тому назад — как, наконец, все, что выходит за рамки обычной жизни, как неслыханная и ужасная катастрофа, – это женитьба Сергея Трубецкого на мадемуазель Пушкиной!». Уже летом 1838 года, после рождения Софии − дочери Екатерины Петровны от Николая І, супруги разъехались.
Уже летом 1838 года, после рождения дочери Софии, супруги разъехались. Екатерина Петровна с дочерью навсегда уехала за границу



Je n'ai trouvé aucune représentation de Catherina Petrovna Moussine Pouchkine.
Je ne sais pas non plus quand elle est arrivée à Venise, ni les raisons de sa mort.

Elle était de la famille du grand poète, mort quelques mois avant son mariage forcé.

J'ai trouvé un portrait de son grand-père, Sergeï Petrovitch, mais point de la belle pour le moment.
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Stef*



Inscrit le : 17 Avr 2005
Messages: 8694
Localisation : Bruxelles

Message Posté le : Mer 16 Fév 2011, 17:28:45    Sujet du message: Répondre en citant

Dès mon retour à Bruxelles, je me ferai une joie, que dis-je,
un devoir, de vous poster un ou deux clichés de ... la tombe à san Michele. :wink: :wink:

Merci pour l'info, Olia&Klod !
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Mer 16 Fév 2011, 18:21:09    Sujet du message: Répondre en citant

Stef* a écrit:
Dès mon retour à Bruxelles, je me ferai une joie, que dis-je,
un devoir, de vous poster un ou deux clichés de ... la tombe à san Michele. :wink: :wink:

Merci pour l'info, Olia&Klod !


La tombe à San Michele, on la connaît presque par cœur. Pensez une grande et illustre famille de chez nous, elle ne peut nous avoir échappé.

En fait, la tombe, jusqu'à ce jour on n'avait que cela...

Ce que nous aimerions retrouver c'est ce qu'elle a pu faire entre 1839 et 1897, quand elle est arrivée à Venise, pourquoi.

Il nous semble peu probable qu'elle ait eu un lien avec le prince Alexandre Troubetzkoy qui à cette époque à acheté la Ca'Doro pour l'offrir à Maria Taglioni en 1846...
... on ne sait pas si elle a gardé des relation avec son éphémère belle famille.

Elle était une petite cousine du poète Pouchkine, disparu un ou deux ans avant ce mariage forcé. Elle a peut être gardé des liens avec les Moussine Pouchkine, mais nous n'en trouvons point de trace.

Sophie sa fille à épousé un fils secret d'Hortense :
Sa mère était la reine Hortense (épouse de Louis Bonaparte) dont Louis-Napoléon Bonaparte, le futur Napoléon III, était le troisième fils et Morny le quatrième.
Morny n’était pas le fils de Louis-Bonaparte mais du général Charles de Flahaut, ce qui explique que la reine Hortense ait préféré accoucher discrètement en Suisse plutôt qu’à Paris.

Un mariage entre bâtards de sang royal, donc... et une belle histoire si on parvient à la recomposer...
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Stef*



Inscrit le : 17 Avr 2005
Messages: 8694
Localisation : Bruxelles

Message Posté le : Mer 16 Fév 2011, 19:43:49    Sujet du message: Répondre en citant

Super ! :D :D

Il y a déjà des lunes, j'ai cherché quelque peu et dans la direction du proprio de la Ca'd'Oro.
Mais comme vous le dites, sans rapport.

Super vos découvertes ! :D :D
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Martine



Inscrit le : 18 Sept 2006
Messages: 2586
Localisation : Hauts de seine

Message Posté le : Mer 16 Fév 2011, 20:47:31    Sujet du message: Répondre en citant

Bon...vu la tournure que prennent les choses....nous avons tous interêt à garder ce post...pour l'année prochaine!!! Rolling Eyes vous voyez de quoi je parle???... Rolling Eyes Rolling Eyes Rolling Eyes :wink: :wink: :wink:
Byron, Corvo...les cimetières...capito? Laughing
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Mer 16 Fév 2011, 22:11:21    Sujet du message: Répondre en citant

Martine a écrit:
Bon...vu la tournure que prennent les choses....nous avons tous interêt à garder ce post...pour l'année prochaine!!! Rolling Eyes vous voyez de quoi je parle???... Rolling Eyes Rolling Eyes Rolling Eyes :wink: :wink: :wink:
Byron, Corvo...les cimetières...capito? Laughing


Ouais !
Par exemple, ou se trouvent trois tombes de princesse géorgiennes ?

ou... qui sont les petits enfants de Catherine Pouchkine, et quel est leur lien avec Venise ?

Je crois surtout que tu aurais aussi intérêt à t'abonner à notre blog qui est apparemment suivi de près par qui tu sais :

http://oliaklodvenitiens.wordpress.com/
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Lun 14 Mars 2011, 10:57:40    Sujet du message: Répondre en citant

Nous sommes revenus sur la tombe d'Ekaterina et nous luis avons demandé de nous aider à écrire son histoire jusqu'à Venise :
Klod en français (qu'elle doit comprendre puisque c'était la langue de la cour du tsar)
Olga en russe, au cas où...

Vous y croirez si vous le voulez, mais il semble que nous ayons été entendus.

Cette romantique ou romanesque histoire commence en 1815.

Pierre Klavdievitch Moussine Pouchkine (Мусин-Пушкин, Пётр Клавдиевич), capitaine des cosaques, occupe Paris. Comme tous les russes de haut rang de l'époque, il parle parfaitement français. Beau et frigant garçon, il n' aucune difficulté à séduire une jeune danseuse de corde, Marguerite Antoinette de Lalanne, épouse du danseur Jean-Julien Saqui et fille du célèbre danseur Jean-Baptiste de Lalanne dit "Navarrin-le-fameux".

Mme Saqui, gravure extraite de Paul Ginisty, Mémoires d'une danseuse de corde, Paris, 1907. Coll. privée.
Marguerite-Antoinette Lalanne, fille d’un arracheur de dents ambulant devenu danseur de corde sous le nom de Navarin-le-fameux, et d’une acrobate, Hélène Masgomieri, danseuse de corde sous le nom de « La Vierge noire ». Née à Adge en 1786, et considérée comme l’une de nos plus illustres acrobates, les parents de celle que les chroniqueurs de l’époque appelaient « La Saqui », firent partie de la troupe des « Grands Danseurs du roi » dirigé par Nicolet. La famille connaît des revers de fortune, mais Marguerite-Antoinette qui a prit goût à l’acrobatie multiplie les prouesses. Des débuts de « Mademoiselle Ninette » aux prouesses de La Saqui que l’on pouvait encore voir à 76 ans en 1862 exécuter un pas de trois sur la corde raide, l’auteur déroule une vie riche de rebondissements et de succès. Célèbre, elle fait la mode : les femmes portent le chapeau à la Saqui, des confiseries sont conditionnées dans des boîtes à son effigie, etc. Cette vraie « Voyageuse » est de tous les dîners en ville et mène une carrière éblouissante. Fantastique parcours donc, pour cet enfant de la balle qui, après avoir eut Paris et l’Empereur à ses pieds mourut dans l’oubli.

De cette liaison, semble-t-il, naquit Ekaterina Petrovna en janvier 1816.

Cette affaire fut étouffée par la famille, Madame Saqui dédommagée contre la promesse de ne pas chercher à revoir sa fille et Ekaterina Petrovna ramenée en Russie où elle reçut l'éducation correspondant à son rang, parmi ses nombreuses cousines ("Mémoires d'une danseuse de corde: Madame Saqui", P.Ginisty, Fasquelle edit., Paris 1907).

Ci dessous, la partie russe de son arbre généalogique :

et un lien pour le voir en plus grand :
http://farm6.static.flickr.com/5220/5525310809_cd918ffa58_o.jpg


Dernière édition : Olia et Klod le Mar 15 Mars 2011, 12:38:19; Edité 3 fois
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Lun 14 Mars 2011, 11:13:59    Sujet du message: Répondre en citant

Catherine reçut une éducation digne de son rang, et fut admise à la cour, puis fille d'honneur de la Tsarine avec sa cousine Varvara Alekseevna (portrait ci-dessous).


Elles figurent donc peut-être sur ce tableau ?

Si l'on en juge par le portrait ci-dessous, ce pourrait-être le jeune fille à la robe verte au premier plan...

Catherine n'a pas une bonne réputation à la cour, on la dit stupide et sa conduite avec les hommes est pour le moins effrontée tant elle est imbue de sa personne. On lui prête pourtant plusieurs amants...
La cousine de Troubestkoy, SA Bobrinskaya écrit le 1 février 1838 "Je dois vous dire les dernières nouvelles. Ce qui nous préoccupe occupe l'esprit, comme une inondation, après l'incendie du Palais suite à la mort de Pouchkine il y a un an - et que, finalement, tout ce qui va au-delà de la vie courante comme une catastrophe sans précédent et terrible - le mariage de Mademoiselle Pouchkine et de Sergueï Troubetskoï ! Oui, oui - ils sont mariés, elle s'installe dans la maison de mon oncle, et aussi récemment que ce matin, ma tante me l'a amenée. Comment pourrais-je recevoir avec l'accueil le plus cordial ma nouvelle cousine ?"

Le général Moussine-Pouchkine, outré de l'attitude du jeune officier, s'en ouvrit au tzar Alexandre Ier, lequel somma le prince Troubetzkoi, alors qu'il était de garde au palais, de prendre ses responsabilités ("Mémoires de A.I. Arnoldi" Moscou, 1972). Le mariage eut donc lieu, mais Serguei Vassilievitch dont l'inclination conquérante supportait mal l'attente ou la difficulté dans la réalisation de ses désirs, reprit le cours de ses aventures.


Portrait de E.K. Moussine Pouchkine (nous pensons qu'il s'agit d'Ekaterina Klavdiusa, mais ce peut être sa cousine Evgenia K également)

Lasse des aventures de son amant, Ekaterina Petrovna s'en ouvrit en 1837 au Tzar Nicolas Ier, lequel la consola et... une fille, Sophie, naquit en 1838. Était-elle la fille du tzar, celle de l'ambassadeur de Russie en France, Kisselev, ou celle du prince Troubetzkoi ? Quoi qu'il en soit Ekaterina Petrovna quitta la Russie avec sa fille et s'installa à Paris ("Frère d'Empereur - Le duc de Morny et la Société du Second Empire", F.Lolliée, Paris, 1909).
Vers 1846 Ekaterina Petrovna tomba gravement malade et se sentant à l'article de la mort (elle mourut pourtant quelques 50 années plus tard en 1896), elle envoya sa fille Sophie, alors âgée de huit ans, nantie d'une lettre de recommandation à l'Impératrice Alexandra Fedorovna.
Celle-ci la prit en charge personnellement, la fit entrer à l'Institut pour jeunes filles nobles et, à l'âge de dix-sept ans, en fit sa demoiselle d'honneur, résidant au Palais d'Hiver.



Portrait de Sophia


Dernière édition : Olia et Klod le Lun 14 Mars 2011, 12:47:14; Edité 2 fois
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Lun 14 Mars 2011, 11:23:00    Sujet du message: Répondre en citant

Le mariage de la jeune demoiselle d'honneur fut arrangé par l'Impératrice, qui la dota d'un demi-million de francs, avec le séduisant, mais déjà mûr, comte Charles de Morny, diplomate français en Russie. Le mariage eut lieu le 26 décembre 1856. Ce même comte de Morny, qui devint plus tard duc, était lui-même enfant naturel du général Auguste Charles Joseph de Flahaut (lui-même fils naturel de Charles Maurice de Talleyrand-Périgord) et de la reine Hortense de Beauharnais, et ainsi demi-frère de l'Empereur Napoléon III. Il était en France député (1842-49), instigateur du coup d'Etat du 2 décembre 1851, ministre de l'Intérieur (1852) et Président du Corps Législatif (1854-65) et enfin ambassadeur extraordinaire au couronnement de l'Empereur Alexandre II (1855).



Veuve en 1865, la duchesse de Morny prit le deuil, mais l'abandonna très vite à la lecture de la correspondance amoureuse de son mari. Elle épousa en 1868 en secondes noces le duc Joseph de Sesto, cousin de l'Impératrice Eugénie.
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Lun 14 Mars 2011, 11:43:48    Sujet du message: Répondre en citant

Quand à Serguey Trubestkoy, sa vie continua comme un vrai roman !

Sergei Troubetzkoy «vivra la majeure partie de sa vie dans le deuil sa gloire, avec la réputation d'être une célèbre fripouille et et surtout qu'il était «l'homme absurde» (F. Tioutchev), «avec l'intelligence, l'éducation, l'apparence ... il a dilapidé toute sa vie, comme arrive le plus souvent avec nous avec d'autres personnes douées plus heureux "(P. J. Grabbe)," un homme de talents extraordinaires, tuant la vie trop large »(PI Bartenev)



Poursuivi par la haine tenace du Tsar, peut être parce qu'il était "un des plus beaux jeunes hommes de saint-Petersbourg", mais aussi, probablement en raison des nombreuses conquêtes du jeune officier au sein même de la famille du Tsar... Il appartenait à la même famille que la fameuse Beauté de Saint-Pétersbourg Stolypine Maria V. et Alexandre Troubetzkoy, favori de l'impératrice, auteur de" L'histoire de l'attitude de Pouchkine face à Dantès. "

il est une première fois envoyé au front dans le sud, puis pour insoumissions, dégradé et devient simple Cosaque, sous les ordres de Kirasirsky, et marqué par le sceau du secret. C'est le sabre à la main que pendant deux ans (de 1835 à 1837) il reconquiert ses galons.
Il revient alors à Saint-Pétersbourg et continue ses frasques.

À la fin de Décembre 1839 Troubetzkoy a été de nouveau transféré, cette fois dans le Caucase, pour le motif officiel : «singeries», manque criant de discipline, escapades et audace.

Alors déjà en retraite de l'armée depuis 1843 avec le grade de sous-lieutenant, il enleva en plein jour la belle madame Jadimirowski au sortir de l'église, au bras de son mari, et s'enfuit avec elle (1851). Les deux amants furent rattrapés à la frontière turque et ramenés à St Pétersbourg sous bonne garde. Cette fois le prince fut envoyé en Sibérie et dépossédé de son titre et de ses propriétés. C'est avec un certain humour qu'il rédigea ses cartes de visite: Serge Troubetzkoi, né prince ("Frère d'Empereur - Le duc de Morny et la Société du Second Empire", F.Lolliée, Paris, 1909).

Finalement, il termina sa vie avec cette dernière conquête qui avait divorcée de son mari despote, la seule à qui, apparemment il ait été fidèle. Il est mort en 1858.
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J@M



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Localisation : LYON

Message Posté le : Lun 14 Mars 2011, 11:44:30    Sujet du message: Répondre en citant

Olia et Klod a écrit:
... Ce même comte de Morny, qui devint plus tard duc, était lui-même enfant naturel du général Auguste Charles Joseph de Flahaut (lui-même fils naturel de Charles Maurice de Talleyrand-Périgord) et de la reine Hortense de Beauharnais, et .....


Ecologisme de l'époque ? Le "naturel" était très à la mode... :wink:

Bravo ! Quel travail !
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Olia et Klod
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Message Posté le : Lun 14 Mars 2011, 11:55:12    Sujet du message: Répondre en citant

A l'heure actuelle nous perdons la trace de Catherine Troubetskoy, née Moussine Pouchkine dont on pense qu'elle vécut auprès de sa fille, d'abord à Paris puis à Madrid, jusqu'à la mort de celle-ci en 1896.

Elle a du s'installer ensuite à Venise en 1896/97 (chez les Ennès ?).



Nous serions donc bien sûr très intéressé de connaitre le liens qui unissaient Catherine et les Ennès et comprendre pourquoi, dans la tombe voisine ou trouve une Maroussia Ennès (prénom typiquement russe, diminutif d'Anna).

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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Lun 14 Mars 2011, 12:00:21    Sujet du message: Répondre en citant

Nous avons oublié... les armes de la famille Troubeskoy :



Et celles de la famille Moussine Pouchkine :
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Mar 12 Avr 2011, 16:23:13    Sujet du message: Répondre en citant

Nous avons encore avancé sur :
la vie de Serge Troubetskoy, mort à44 ans, qui fut une véritable épopée romanesque. Il est même étonnant que personne à ce jour ait pensé à en faire un film.

la vie de Sophie Troubeskoy, morte d'un cancer du poumon à Paris après avoir fait la Révolution des mantilles en Espagne, inventé Deauville avec De Morny et de bien autres et nombreuses aventures

Mais sur Catherine : RIEN ! Crying or Very sad

Nous n'avons pratiquement pas avancé de ce côté-là...
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Olia et Klod
Invité





Message Posté le : Jeu 08 Déc 2011, 11:58:07    Sujet du message: Répondre en citant

Nos recherches ont bien avancées !

Marie Ennès, est la seconde fille de Catherine, née à Paris d'un certain Nicolas Vel.
Elle a épousé Louis-Martin Ennès, un ingénieur, et ils ont eu deux filles :
Eléonore et Marie, dite Maroussia, nées toutes les deux dans un petit village de l'actuelle Ukraine.
Et, dernièrement, nous avons retrouvée la maison de Catherine, près de Venise, dans un village de la terraferma.

Bref, nous avons matière à continuer encore quelque temps la saga commencée sur notre blog : http://oliaklodvenitiens.wordpress.com/category/venise/catherine-moussine-pouchkine-princesse-troubetstkoy/
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