il Campiello

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Expo de 2011 à Rovigo, placée sous le signe de Mariano Fortuny, la peinture d'une société bourgeoise rayonnante et frivole d'une Italie nouvellement unifiée :

http://www.paperblog.fr/4126376/l-ottocento-elegante-arte-in-italia-nel-segno-di-fortuny-1860-1890/

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En cette seconde moitié du XIXème siècle, la gravure puis la photographie revêtent une importance considérable pour les artistes peintres : leur chance de se faire connaître d'un public plus nombreux qui achète des reproductions, et dynamise aussi la vente des originaux aux collectionneurs.
L'offre vers cette culture de masse est l'oeuvre du LA MAISON GOUPIL, où Adolphe Goupil est le mécène-commerçant qui va faire connaître les peintres italiens avec qui il passe des contrats de reproduction. Le musée d'art de Bordeaux a tenu une exposition en 2013 pour retracer le rôle fondamental que la Maison Goupil a joué à l'international dans le marché de l'art, et tout le bénéfice qu'en ont retiré de nombreux peintres italiens ayant
séjourné à Paris.

C'est Mariano Fortuny i Marsal, (le père de Mariano Fortuny i Madrazo qui vécut à Venise) qui fit la connaissance de Goupil en 1865 et lui présenta un peintre italien dont je crois que nous n'avons pas encore parlé au Campiello, et qui fera l'objet d'un prochain post.

https://es.wikipedia.org/wiki/Goupil_%26_Cie.
Le magasin Goupil & Cie à l'Opéra à Paris semble être là où au XXème siècle est le magasin de maroquinerie Lancel, à l'angle du boulevard des Italiens.

http://www.musba-bordeaux.fr/fr/evenement/la-maison-goupil-et-litalie

http://www.musba-bordeaux.fr/sites/musba-bordeaux.fr/files/images/rich_text/presentation_goupil.pdf