il Campiello

[Danielle]

Je l'ai reçu hier matin...j'avais une petite appréhension. mais par après....j'ai pris le temps de lire lentement.........parce qu'en lisant...je faisais des rapprochement....avec les personnages intervenants...et j'aime bien quand tout se met "en images" dans ma tête....ah, je ne regrette pas mon achat...........d'occasion mais impeccable..... :D :D :D :D :D

[Macha]

Comme Stef et Vera, j'ai pris grand plaisir à suivre John Berendt dans son approche multiple d'une Venise parfois bien surprenante.

L'épisode de l'homme aux rats est particulièrement savoureux.

Ce livre n'est pas à la gloire des Américains à Venise... du moins de quelques-uns

J'ai maintenant envie de lire Pound et les Papiers de Jeffrey Aspern

Il y a quantités de sujets abordés et l'on ne s'ennuie pas un instant.

[Danielle]

J'ai dégusté hier .....savouré même l'épisode de l'homme au rats... :D :D :D fabuleux............ :D :D :D :D :D

[wagon lits]

Pour celle ou celui qui désirerait acquérir cet ouvrage : :wink:

(perso j'attends qu'il soit libre à la bib du coin, n'ayant positivement plus aucune place sur mes étagères )

[SAB.]

... bouquin commandé... je l'attends ! (bien que je n'ai pas fini mon stock "vénitien", mais, à croire que j'ai peur de "manquer", j'accumule, j'accumule... )
J'en reparle bientôt.. dès lecture

[J@M]

Désolé, dans ce concert de louanges, de dire que j'ai été déçu...

[wagon lits]

La cité des anges déçus ?

[Blandine]

Déçus ou déchus, telle est la question … Je viens d’acheter le livre et j’ai hâte de m’y plonger vu les commentaires :wink:

[Martine]

Bien aimé aussi...
Quelquefois, je me demande si je suis toujours objective quand il s'agit de Venise :wink: ...alors J@M, il serait intéressant de savoir en quoi ce livre t'a déçu?...

[J@M]

D'abord je m'attendais à un roman et pas à une enquête journalistique. La première partie, sur l'incendie de la Fenice, est bien rendue
mais je trouve qu'ensuite chaque chapitre s'étire mortellement en longueur. Bref je n'ai pas accroché.

[livia]

Partagée entre plaisir et profond ennui... J'ai trouvé ce livre intéressant, j'y ai appris des choses que j'ignorais, mais j'ai aussi trouvé qu'il y avait des longueurs interminables! J'ai aussi bien aimé le passage de la mort au rat et aussi celui du frère Curtis un peu frappadingue (avec l'empreinte de l'orteil!). C'était divertissant. J'avais particulièrement aimé le début, l'arrivée à Venise et la découverte des lieux, de la vie de quartier de Cannaregio.

[Blandine]

Ca y est, je viens de finir, et bien … je dirais que J Berendt nous livre ici une collection d’articles pittoresques, une galerie de portraits quelque peu hétéroclites, dont le fil rouge demeure la fascination de l’auteur pour l’aristocratie « un monde où se rencontrent l’Art, la Société, les Privilèges, l’Argent et la Culture ».
On se promène dans ce livre comme dans un musée et l’on prends plaisir à envisager ces personnages avec les traits saillants de chacun, ici l’arrogance suave, là l’extravagance, plus loin la hautaine distinction … Ce qui m’a plus : l’évocation de Palazzo Barbaro et de la famille Curtis, l’histoire d’Olga et Ezra Pound, l’histoire de Save Venice, l’homme qui aimait les autres. Même si cela tourne à une fâcheuse tendance « who’ who » vénitien, mon attention ne s’est pas relâchée et le style anecdotique en fait un livre facile d’accès, oscillant entre la plus éminente culture et la frivolité d’un magazine people !
Le livre d’ailleurs reste très centré sur les américains à Venise … et on ne peut que sourire en se disant que, décidément, ils auront toujours la conscience aiguë de sauver le monde où qu’ils passent ( ce qui reste vrai pour Santa Maria dei Miracoli au demeurant)

[Danielle]

Je m'inscris tout-à-fait dans l'appréciation de Blandine...

[J@M]

Cette dernière intervention illustre parfaitement la difficulté des "sans grade" à exprimer une opinion se démarquant de celles des caciques. :(