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Tiepolo, l'élégant impertinent

 
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Danielle



Inscrit le : 17 Avr 2005
Messages: 7935
Localisation : Montigny-le-Tilleul

Message Posté le : Ven 19 Juin 2009, 15:14:26    Sujet du message: Tiepolo, l'élégant impertinent Répondre en citant

de Roberto CALASSO qui a déjà à son actif " Le rose Tiepolo"
Gallimard.330 pages, 27,50.C'est un essai dont la critique dit le plus grand bien.

La critique se trouve dans l'édition culturelle du soir.Ai pas eu le temps de la copier. :D :D
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Blandine



Inscrit le : 24 Fév 2008
Messages: 5938
Localisation : Rennes

Message Posté le : Dim 28 Juin 2009, 11:03:02    Sujet du message: Répondre en citant

http://archives.lesoir.be/tiepolo-l’-elegant-impertinent_t-20090619-00NP49.html?firstHit=0&begYear=2009&begMonth=6&begDay=17&endYear=2009&endMonth=6&endDay=17&sort=datedesc&by=100&when=-1


Cet article ressemble terriblement a la présentation du livre " le rose Tiepolo" et je ne vois, pour l'instant, pas de nouvel ouvrage du même auteur sur le sujet. Peut être est-il à paraitre? Je poursuis la recherche ...

Le rose Tiepolo.

Présentation de l'éditeur
Toute sa vie, Tiepolo aura peint sur commande pour les églises et les palais, couvrant de fresques jusqu'aux vastes plafonds de la Résidence de Würzburg ou du palais royal de Madrid. Dans son oeuvre s'anime toute la vie d'une époque - le dix-huitième siècle - qui l'admira sans se préoccuper de le comprendre. Il ne fut que plus facile à Tiepolo de lui échapper, et de livrer son secret à ses seules gravures, trente-trois Capricci et Scherzi. Chacune est comme le chapitre d'un roman noir, éblouissant et muet, peuplé de personnages hétéroclites et déconcertants : éphèbes épanouis et Orientaux ésotériques, Satyres et Satyresses, hiboux et serpents - et même Polichinelle et la Mort. De page en page, nous les retrouvons côtoyant Vénus, le Temps ou Moïse, Armide ou la cohorte des anges, Cléopâtre ou Béatrice de Bourgogne : une foule bigarrée, une troupe de bohémiens itinérants, cette " tribu prophétique aux prunelles ardentes " dont parle Baudelaire. Plus qu'un brillant intermède dans l'histoire de la peinture, l'art de Tiepolo fut une manière à travers laquelle les formes se manifestèrent, un certain style dans le déploiement de leur défi. Ses figures révèlent une fluidité sans effort ni obstacle. Toutes accédaient au ciel sans oublier la terre, incarnant une dernière fois la vertu suprême de la civilisation italienne : la sprezzatura. Nul mieux que Tiepolo ne sut donner à voir ce que Nietzsche appelait " l'Olympe de l'apparence ". Après La ruine de Kasch (1987), Les noces de Cadmos et Harmonie (1991), Ka (2000) et K. (2005), Le rose Tiepolo se présente comme le cinquième volet d'une oeuvre en devenir, dont les différents moments, fortement articulés entre eux, élaborent les matières les plus diverses, sans qu'aucun ne puisse être assigné à un genre établi. Le présent ouvrage, entre récit et essai, est enrichi de plus de quatre-vingts illustrations faisant contrepoint au texte, et réalise une véritable osmose entre l'image et le mot.

Biographie de l'auteur
Roberto Calasso est né à Florence et vit à Milan, où il dirige les Éditions Adelphi. Son oeuvre est traduite et publiée aux Editions Gallimard.



Le lien semble rompu: voici une copie écran:

Tiepolo, l’élégant impertinent

Vendredi 19 juin 2009

Qui connaît Giambattista Tiepolo ? C’est juste un nom qui trotte en tête sans s’arrêter vraiment ni sur une époque ni sur un art. Roberto Calasso, lui, connaît ce peintre vénitien du XVIIIe siècle au point de disséquer son œuvre, non comme un médecin légiste le ferait d’un cadavre mais comme un amoureux scannerait avec délices chaque partie du corps de son amante. L’autopsie n’en est que plus passionnée, parfois aveugle à certains défauts. Tiepolo a couru toute sa vie à Venise puis en Europe pour poser des fresques aux plafonds d’églises et de palais. Peintre magnifique qui allie une élégance nonchalante qu’il étale et une ironie impertinente qu’il cache dans les détails. Artiste mystérieux aussi dans les 23 eaux-fortes appelées Scherzi, plaisanteries, comme pour faire un pied de nez à l’analyse. Calasso raconte Tiepolo avec l’émerveillement d’un adorateur et la précision d’un spécialiste.
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