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PALAZZO FORTUNY
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Catherine A



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Message Posté le : Ven 06 Juil 2007, 11:44:40    Sujet du message: PALAZZO FORTUNY Répondre en citant

[b]A ceux qui partiraient à Venise avant le 7 Octobre, je conseille vivement l'exposition ARTEMPO au Palazzo Fortuny qui vient de rouvrir après plusieurs années de travaux.
Non seulement la demeure du couturier de génie qui avait séduit le tout Paris des années 1900 et Marcel Proust en particulier est bien restaurée et a gardé tout son charme, mais l'exposition sur le thème du Temps et de son rapport à l'Art est un régal ! Trois-cents objets et oeuvres d'art , de la préhistoire aux installations contemporaines , y ont été rassemblés dans un savoureux désordre de "cabinet de curiosités" par le commissaire réputé Jean-Hubert Martin. L'exposition investit des salles qui n'avaient jamais été ouvertes au public. En plus, le beau catalogue n'est qu'à 29 euros. Pour faire des photos, par contre, il faut déployer des trésors de ruse car les surveillants sont aux aguets ! J'en ai volé quelques-unes quand même :



Vous pouvez en trouver d'autres sur le site du musée :

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wagon lits



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Message Posté le : Ven 06 Juil 2007, 14:48:56    Sujet du message: Répondre en citant

Bravo Catherine pour cette photo d'un lustre Fortuny Razz Effectivement, heureusement qu'il y a une grande vitrine et 2 ou 3 cloisons pour se cacher de la surveillance Cool Laughing
Il y a donc d'autres salles d'ouvertes que le grand piano nobile !? Shocked Razz :D
Où ça ? Où ça ?

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wagon lits



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Message Posté le : Ven 06 Juil 2007, 16:14:24    Sujet du message: Répondre en citant

Ah ! Ok ! Vues les nouvelles pièces ouvertes ! Razz

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Catherine A



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Message Posté le : Ven 06 Juil 2007, 19:37:02    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, il y a trois étages d'ouverts, ce qui ne s'était pas produit depuis vingt ans : le rez-de-chaussée où se trouvent, entre autres, les fabuleux mannequins de sculpteurs XIXème qui ont servi pour l'affiche, placardée sur toutes les stations de vaporetto. Une surprise : ils sont très petits, 40 cm environ, alors qu'ils sont gigantesques sur les affiches. Une vidéo en grand format de l'artiste coréenne Kim Sooja fait s'écouler un fleuve sublime, métaphore éternelle du Temps. Le deuxième étage est occupé par le grand atelier et trois petites salles annexes; l'atelier qui présente, comme avant , les meubles, tentures, peintures et sculptures de l'artiste est aussi occupé par de grandes vitrines et armoires aménagées dans le style des cabinets de curiosité. Et le troisième étage, resté très brut, avec des enduits volontairement non restaurés présente également des oeuvres célèbres de Marcel Duchamp, Alberto Burri, Fontana etc..., aini que la bibliothèque et les outils de travail de Fortuny. La représentation du corps dans les cultures et les époques les plus diverses a la part belle dans ce rassemblement d'objets et d'oeuvres. Vraiment une très belle et très sensuelle exposition !


Je joins l'article du Monde qui est sorti au moment du vernissage.

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-930507,0.html?xtor=RSS-3246
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wagon lits



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Message Posté le : Sam 07 Juil 2007, 01:43:20    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour tous ces détails et la nouvelle photo Shocked Razz ....une deuxième visite s'impose...où vais-je bien pouvoir la caser parmi tous les lieux de la Biennale !? Rolling Eyes Laughing
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Catherine A



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Message Posté le : Sam 07 Juil 2007, 10:55:46    Sujet du message: Répondre en citant

Pour moi, Wagon-Lit, c'est à mettre en premier sur la liste des "eventi collateri" ! Tant pour le charme du Palais, le climat qui s'en dégage lié aux souvenirs de Fortuny que pour la qualité de l'exposition. Je placerais même cette expo. en tête de Biennale, mais je suis mauvais juge en matière d'art très contemporain....

Petit cadeau pour les "lettreux", ce très beau texte de Proust sur les robes de Fortuny qu'il aimait tant :

"La robe de Fortuny que portait ce soir-là Albertine me semblait comme l'ombre tentatrice de cette invisible Venise. Elle était envahie d'ornementation arabe comme Venise, comme les palais de Venise dissimulés à la façon des sultanes derrière un voile ajouré de pierre, comme les reliures de la bibliothèque Ambrosienne, comme les colonnes desquelles les oiseaux orientaux qui signifient alternativement la mort et la vie, se répétaient dans le miroitement de l'étoffe, d'un bleu profond qui au fur et à mesure que mon regard s'y avançait se changeait en or malléable, par ces mêmes transmutations qui, devant la gondole qui s'avance, changent en métal flamboyant l'azur du Grand Canal. Et les manches étaient doublées d'un rose cerise qui est si particulièrement vénitien qu'on l'appelle rose Tiepolo."

Proust, La Prisonnière, Gallimard, coll. Pléiade, tome 3, p. 895-6.
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livia



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Message Posté le : Sam 07 Juil 2007, 13:15:43    Sujet du message: Répondre en citant

Proust, Venise et Fortuny... On trouve sur ce site http://www.fabula.org/colloques/sommaire446.php une série de textes sur le sujet.

À la recherche d’Albertine disparue


Albertine disparue, la fin du roman par Anne CHEVALIER (Université de Caen-Basse-Normandie)
Vérité et justice par Antoine COMPAGNON (Collège de France)
« Dans la chambre obscure » : écriture du deuil dans Albertine disparue par Catherine DOROSZCZUK (Lycées Victor Duruy et Hélène Boucher, Paris)
Le « narrateur informé » ou le roman de l'aimé(e) par Christina KKONA (Université Paris 7-Denis Diderot)
Ecrire Venise: « La jeune fille à la croisée » par Marie HARTMANN (Université de Caen-Basse-Normandie)
Le temps, la femme, la jalousie, selon Albertine par Julia KRISTEVA (Université Paris 7-Denis Diderot et Institut Universitaire de France) et France)
Aux bords par Nathalie MAURIAC DYER (ITEM/CNRS)
L’article dans Le Figaro par Jean MILLY (Université Paris III-Sorbonne nouvelle)
L’image de la disparition par Guillaume PERRIER (Université Paris7-Denis-Diderot)
Différance et herméneutique dans Albertine disparue par Emmanuel PESTOURIE (Lycée Dumont d’Urville, Toulon)
Les deux côtés de Venise par Michel SANDRAS (Université Paris 7-Denis Diderot)

À lire aussi: le très beau livre de Gérard Macé: Le Manteau Fortuny
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Gérard



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Message Posté le : Sam 07 Juil 2007, 16:53:57    Sujet du message: Proust .... Répondre en citant

... me fait penser à Frédéric Chopin .
Même province , définitivement perdue .
Même fragilité du corps .
Même volonté de force colossale .
L'Oeuvre en premier .
Deux immenses lutteurs , profondément nietzschéens , deux magnifiques créatures infiniment créatrices , totalement nietszchéennes .
Sachant eux-mêmes qu'ils n'avaient pas d'autre choix , justement , que ce choix .
A l'arrache !
Suis admiratif devant les personnages , mais surtout devant les personnes . Et même peut-être davantage .
Mais qui était cette Albertine , ainsi habillée ?
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Catherine A



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Message Posté le : Sam 07 Juil 2007, 22:34:45    Sujet du message: Répondre en citant

Merci, Livia, pour ces articles fort intéressants sur Proust; je m'en suis replongée dans "La Prisonnière" et "Le temps Retrouvé", à la recherche des passages sur Venise.... Oui, le livre de Gérard Macé est superbe, il a déjà été évoqué dans la Bibliothèque :
http://www.campiello-venise.com/livres/romans.htm#Le%20manteau%20Fortuny

Par contre, pour une initiation au personnage et aux travaux de Fortuny, le Musée a édité une brochure qui me semble plus abordable; malheureusement, elle est en italien ou en Anglais (10 euros).

Quant à Albertine, Gérard, je ne connais que le personnage fait de mots, créé par Proust dans " La Recherche" ; j'ignore si ce personnage a été inspiré par une personne réelle...
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livia



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Message Posté le : Dim 08 Juil 2007, 01:13:37    Sujet du message: Répondre en citant

Catherine A., je ne sais pas si vous connaissez le livre: Marcel Proust l'écriture et les arts, un beau livre paru à l'occasion d'une expo de la BNF en 1999. On y trouve plusieurs passages évoquant Venise, Carpaccio, Fortuny... Le site Gallica de la BNF est aussi un bon moyen de recherche pour trouver toutes les occurrences de Venise dans Le temps retrouvé.

http://expositions.bnf.fr/proust/


Site expo BNF
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Catherine A



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Message Posté le : Dim 08 Juil 2007, 09:36:48    Sujet du message: Répondre en citant

Merci, Livia, je connaissais ces sites, mais ils peuvent être très utiles pour les Campiellistes, car quand on est amoureux de Venise, les textes de Proust sur la ville sont un régal...

J'avais déjà posté cet hiver un "avis de recherche" à propos du tableau de Carpaccio : "Le Patriarche de Grado", décrit par Proust; je cherchais à identifier le costume des Compagnons de la Calza; mais nos fins limiers du Campiello, pour une fois, étaient restés secs...Je vais peut-être trouver un indice dans le livre que vous m'indiquez, merci .
Pour le plaisir, je vous redonne ce beau texte qui évoque aussi le "fils génial de Venise", c'est à dire Fortuny :

" Sur le dos d'un des "Compagnons de la Calza", reconnaissable aux broderies d'or et de perles qui inscrivent sur leur manche ou leur collet l'emblème de la joyeuse confrérie à laquelle ils étaient affiliés, je venais de reconnaître le manteau qu'Albertine avait pour venir avec moi en voiture découverte à Versailles, le soir où j'étais loin de me douter qu'une quinzaine d'heures me séparaient à peine du moment où elle partirait de chez moi. Toujours prête à tout, quand je lui avais demandé de partir, ce triste jour qu'elle devait appeler dans sa dernière lettre "deux fois crépusculaire puisque la nuit tombait et que nous allions nous quitter", elle avait jeté sur ses épaules un manteau de Fortuny, qu'elle avait emporté avec elle le lendemain et que je n'avais jamais revu depuis dans mes souvenirs. Or c'était dans ce tableau de Carpaccio que le fils génial de Venise l'avait pris; c'est des épaules de ce compagnon de la Calza, qu'il l'avait détaché pour le jeter sur celles de tant de Parisiennes qui certes ignoraient comme je l'avais fait jusqu'ici que le modèle en existait dans un groupe de seigneurs, au premier plan du Patriarche di Grado, dans une salle de l'Académie de Venise. J'avais tout reconnu, et, le manteau oublié m'ayant rendu pour le regarder les yeux et le coeur de celui qui allait ce soir-là partir à Versailles avec Albertine, je fus envahi pendant quelques instants par un sentiment trouble et bientôt dissipé de désir et de mélancolie."

Comme quoi la Biennale nous mène loin !...

Pour ceux qui ne la connaitraient pas, la photo du grand Marcel à Venise
(un peu chaplinesque, il faut dire, dans ce cliché de 1900...)

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Gérard



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Message Posté le : Dim 08 Juil 2007, 10:45:45    Sujet du message: Labyrinthique recherche . Répondre en citant

Résumé .
" La comtesse Marie Anatole Louise Élisabeth de Riquet de Caraman, par son mariage comtesse Henry Greffulhe, est née le 11 juillet 1860 et morte en 1952. L'une des femmes les plus fascinantes et les plus admirées de sa génération, elle fut l'un des principaux modèles de Marcel Proust pour la duchesse de Guermantes dans À la recherche du temps perdu.
Fille de Joseph de Riquet de Caraman (1836-1892), 18e prince de Chimay et de la princesse, née Marie de Montesquiou-Fezensac, la comtesse Élisabeth de Riquet de Caraman (il est d'usage de donner aux femmes non mariées de la maison de Chimay le titre de « comtesse » tandis que les hommes portent le titre de « prince ») est issue à la fois d'une des plus grandes familles belges et de la meilleure aristocratie française. La fortune de ses parents est toutefois relativement restreinte et c'est avec empressement qu'est agréé le mariage d'Élisabeth avec le comte Henry Greffulhe, unique héritier d'un empire financier et immobilier qui en fait l'un des plus beaux partis de son temps. Le mariage est célébré en 1878. Ils auront une fille, Élaine (1882-1958), qui épousera Armand de Gramont.
D'une beauté et d'une élégance incomparables, habillée chez Worth, Fortuny, Félix, Doucet ou Beauches, mais toujours avec une touche personnelle, la comtesse Greffulhe règne sur le Tout-Paris de son époque. Elle est immortalisée par de nombreux portraits, d'innombrables photographies, mentionnée par beaucoup de mémorialistes. Profondément narcissique, elle n'est peut-être pas très intelligente, mais elle fascine et intrigue. Douée pour les arts, elle prend des cours de dessin, de photographie avec Paul Nadar. Par l'intermédiaire de son cousin Robert de Montesquiou, elle a rencontré Gustave Moreau dont elle possède plusieurs tableaux, et Antonio de La Gandara qu'elle admire.
Excellente musicienne, elle joue du piano et apprend la guitare, organise des concerts de musique de chambre et jusqu'à des représentations lyriques, comme celle de Béatrice et Bénédict d'Hector Berlioz au Théâtre de l'Odéon en 1890 et la première représentation parisienne de Tristan et Isolde de Richard Wagner en octobre 1899. Elle a rencontré Franz Liszt lors de son dernier voyage à Paris en 1886 et, toujours grâce à Montesquiou, elle fait la connaissance de Gabriel Fauré. Elle fonde en 1890 la Société des grandes auditions musicales et favorise la venue à Paris des Ballets russes.
Toujours grâce à Montesquiou, elle se lie avec Edmond de Goncourt, José-Maria de Heredia, Stéphane Mallarmé, Judith Gautier.
En politique, de manière quelque peu paradoxale, elle est proche des républicains. Elle est particulièrement liée avec Théophile Delcassé, Pierre Waldeck-Rousseau, le général de Galliffet. Sans doute sous l'influence des deux derniers, elle prend le parti du capitaine Alfred Dreyfus et est accusée par la presse de droite d'être intervenue en sa faveur auprès de Guillaume II en 1899.

Marcel Proust l'aperçoit à un bal chez la princesse de Wagram le 1er juillet 1893. Il est aussitôt fasciné et en fait le principal modèle de la duchesse de Guermantes. "

Perversité , mondanités , homosexualité .
Mais , et ,
Liberté d'écriture .
De penser .
Albertine Simonet .
Modèles :
Alfred Agostinelli, chauffeur de Proust.
Selon Élisabeth de Gramont, Proust lui aurait donné le prénom de la comtesse Jean de Montebello, amie de Robert de Montesquiou.
Autres modèles : Albert Nahmias, Albert Le Cuziat, Henri Rochat, Marie de Chevilly et Marie Finaly.
" Que d'eau , de Lesbos à Knossos . Que d'eau ! Que d'hommes ! "
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Danielle



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Message Posté le : Dim 08 Juil 2007, 11:00:09    Sujet du message: Répondre en citant

Je gage que je ne suis pas la seule à m'extasier sur ces merveilles...



http://users.skynet.be/fa064112/au%20bonheur%20des%20dames/au_bonheur_des_dames2htm.htm
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Gérard



Inscrit le : 18 Avr 2005
Messages: 1783
Localisation : Orléans

Message Posté le : Dim 08 Juil 2007, 11:11:34    Sujet du message: Nous , Répondre en citant

sommes nombreux , c'est vrai !
Le rêve porte tout , les Arts , les soies et ...... l'écriture !
L'imaginaire a-t-il une limite ?
Je n'en crois rien .
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Catherine A



Inscrit le : 10 Mai 2005
Messages: 29
Localisation : Falaise Calvados Normandie

Message Posté le : Dim 08 Juil 2007, 11:57:35    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, Gérard, on a dit effectivement qu'Albertine était un Albert...Mais seuls comptent vraiment les êtres de papier qu'a engendrés l'artiste, faits de mots, d'images, de sons, environnés de tout l'univers littéraire qui les accompagne... Et particulièrement dans une oeuvre comme celle de Proust. Merci, quand même d'avoir cherché pour la Marquise de Guermantes qui, elle aussi, dans le livre du moins, s'habillait chez Fortuny.

Superbes photos, Danielle, que celles des sites que vous avez trouvés sur Fortuny ! J'y ai appris en plus, que si on ne peut pas visiter l'usine de tissage d'origine à la Giudecca, on peut au moins voir le jardin et la salle d'exposition des tissus, vêtements et accessoires. J'ai déjà envie de repartir !...

Les parisiens pourront aller se ravir l'oeil Boulevard St Germain, chez le dépositaire exclusif en France des tissus Fortuny, en attendant leur prochain séjour...

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