Le Trésor des Templiers
Ce vendredi-là, Nicodème avait tenté en vain de me joindre toute la journée. Je savais son père décédé trois jours auparavant. Quelque peu emprunté, je formai le numéro de son portable. Rapidement il allégea mes condoléances hésitantes par une simple question : - Es-tu encore Campielliste ? - ... ? - Es-tu toujours le passionné de Venise que j’ai connu ? - Oui, bien sûr ! - Accepterais-tu de m’y accompagner quelques jours ? - Mais, je ne ... - Ton vol est réservé ainsi qu’une chambre au Metropole. - Nicodème, voyons, attend ! - Je t’en prie ! Accepte ! J’ai besoin de ton aide. C’est très sérieux ! Il s’agit d’une promesse faite à mon paternel, sur son lit de mort.
Il me conta alors l’ultime vertige de son père. |