Romans 2 Suite ... retour index bibliothèque
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         Ouvrages présentés sur cette 
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         Éditions : Fayard Série : Loredan  | 
      
         
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         Les mystères de Venise, Tome 1 - 2 - 3 Présentation de l'éditeur : 
        Quel 
        livre emporter à Venise ? quel roman lire à son retour pour prolonger la 
        magie ? "Les mystères de Venise" sont nés de la fascination qu'éprouve 
        l'auteur pour ce diamant de l'Adriatique.   | 
      
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        Je remercie les 
        éditions Fayard de m’avoir envoyé cet ouvrage.  
        Ce roman développe deux enquêtes parallèles :  
        Bilan : ce n’est pas du Dumas certes, mais un 
        livre de vacances, agréable à lire sans prise de tête.  | 
      
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        Jusqu’au milieu du livre, je me suis demandé quel 
        souvenir lointain m’évoquait ce livre : la bibliothèque verte. 
        L’intrigue se résume à « par chance » et « par bonheur » des choses se 
        mettent en place qui dénouent heureusement le fil. Léonora digne sœur de 
        Michel.   | 
      
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        Loredan poursuit son exploration de la Sérénissime 
        République au temps de Goldoni et de Casanova. Eternellement romanesque, 
        Venise y apparaît dans sa subtile ambivalence, à l’image de ses reflets 
        marins, de son décor théâtral et de ses masques moqueurs.   | 
      
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        Je craignais quelque petite chose romanesque, 
        mais, pas du tout: un récit enlevé, une écriture alerte, un fort 
        agréable moment de lecture!   | 
      
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         Je 
        reprend le post de Jas...où il note les points forts et les points 
        faibles...c'est bien vu!   | 
      
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         J'ai reçu 
        des éditions Fayard (mille mercis) le 3ème tome ... du coup j'ai acheté 
        le 2ème que je n'avais pas lu !!  | 
      
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      Danielle  
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        Éditions : 
        
        de Fallois  | 
      
        
         Amable De Fournoux Présentation de l'éditeur : Voici l'histoire véridique de Caterina Cornaro, jeune aristocrate vénitienne devenue la dernière reine de Chypre. Son destin hors du commun a inspiré nombre d'historiens, romanciers, librettistes, et sa beauté troublé les plus grands peintres de son époque (Bellini, Giorgione, Dürer, Titien...) et bien au-delà. La vie romantique de cette " Fille de la République de Venise " se déroule dans la deuxième moitié du XVe siècle et au tout début du XVIe. Elle s'inscrit successivement dans le cadre prestigieux de la Venise de la Renaissance, alors à son apogée, puis dans la lointaine Chypre, dernier royaume franc fondé au Levant par les Lusignan, une famille de chevaliers poitevins, enfin dans la petite principauté d'Asolo, en Vénétie, où la reine sera exilée et animera une Cour renommée dans toute l'Italie. " Caterina contre Venise ", tel pourrait être aussi le titre de cette biographie où s'entremêlent complots, trahisons, tueries, intrigues politiques et amoureuses. Avec en toile de fond l'agonie d'une dynastie et l'apogée d'une république, le portrait d'une femme belle et fière qui, en épousant malgré elle le dernier des rois Lusignan, ne cessera de lutter pour son bonheur et sa survie.  | 
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        Je viens d'en 
        finir la lecture...   | 
      
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        Éditions : 
        
        Zurfluh  | 
      
        
         Adrien De Vries 
 Présentation de l'éditeur : Le principe de la narration subjective, où l'auteur fait parler Monteverdi à la première personne donne parfois des résultats contestables, où la pensée de Claudio Monteverdi est ainsi restituée au style direct, mais l'écriture et la vivacité des évocations rendent prenant l'intérêt de cette contribution romanesque qui s'appuie cependant sur des faits authentiques. A défaut d'être musicien à Rome où le pape Paul V demeure sourd à ses offres de service, c'est Venise, patrie de la modernité qui accueille le plus grand génie du XVIIème musical. Le dernier chapitre restituant Monteverdi dans "sa" ville, est le plus réussi. En plus d'un portrait troublant d'un vieillard habité jusqu'à la fin par l'idée d'une œuvre parfaite, l'écriture évoque aussi la ville et les mœurs vénitiennes à son époque. Lecture passionnante.  | 
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        Voilà un ouvrage 
        au premier abord bien intéressant qui devrait ravir tous les mélomanes 
        du Campiello   | 
      
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        Éditions : Loubatières  | 
      
         Andréa Tron, le maître de Venise d'Anne Queruel 
        
        Présentation de l'éditeur :  
        Lorsque naquit 
        Andréa Tron en 1712, Venise se remettait avec difficulté de deux siècles 
        de guerres incessantes contre l'ennemi turc. Son trésor était vide, son 
        empire avait disparu. Enveloppée dans un magnifique isolement, elle 
        s'éloignait doucement de la réalité, remplaçant le goût du risque et les 
        victoires maritimes par l'attrait du jeu et la poursuite effrénée des 
        plaisirs.   | 
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        Fort honnête 
        biographie d'un des hommes les plus importants du 18e siècle vénitien. 
        Il était surnommé el paron, et 
        faillit bien être élu doge mais refusa de corrompre les
        barnabotti.   | 
      
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        Très très 
        intéressant, cet ouvrage   | 
      
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        Je viens d’achever 
        cette excellente biographie pour laquelle je m’étonne que si peu de 
        commentaires aient été faits !!!   | 
      
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        C'est mon livre de 
        chevet du moment et je suis tout aussi emballé que Blandine.   | 
      
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        Éditions : 
        Calmann Lévy  | 
      
        
         De ... Dona Leon 
 Présentation de l'éditeur : On connaissait Donna Leon en Simenon vénitien, en auteur des enquêtes du commissaire Brunetti, mais pas en Américaine à Venise ni en essayiste engagée. D'une écriture caustique, elle traite de la musique, de l'homme, de l'animal, de l'Amérique, des livres et de son lieu de résidence depuis vingt-cinq ans, sans complaisance aucune. Jamais elle ne sombre dans le cliché de carte postale : en Italie la dolce vita côtoie la mafia. Elle dépeint sa vie avant Venise ou ses voyages à travers le monde avec le même ton drolatique, la même acuité de regard. Ce recueil d'articles, écrits de 1972 à nos jours, nous révèle une femme telle qu'on la pressent à la lecture de ses romans policiers - une dure à cuire avec un sacré sens de l'humour -, au travers de ses variations sur la bureaucratie à l'italienne, la liberté à l'opéra, les bus saoudiens, les groupies de Lady Diana, les bons plans pour écrire un polar, le mâle italien, « ce macho de jour qui rentre le soir aider à faire la vaisselle », le dimanche matin des taupes, le New-Yorkais convenable, marié, homosexuel ou les deux, les funérailles de sa mère, la meilleure façon de tuer…  | 
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        mouais, ce côté détaché et pince sans 
        rire de la chère Donna, amuse mais agace aussi un peu selon moi...  | 
      
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        Donna est très pince sans rire.   | 
      
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        Je ne suis pas une fan de Mme Leon. J'ai 
        jadis commencé un de ses romans qui avait rapport à la Fenice je crois 
        pour finalement ne pas dépasser le cap des 50 pages. J'ai par la suite 
        essayé d'en choisir un autre mais aucune des 4e de couverture ne me 
        faisaient envie... Voilà que paraît ce recueil d'essais (enfin, textes 
        courts). Je me suis décidée à le lire et je dois dire que pour le moment 
        j'aime bien. Je trouve ça sympathique et léger et même drôle. Peut-être 
        me risquerais-je à lire un roman...   | 
      
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        De mémoire j'avais bien aimé Mort en 
        terre étrangère car il traite d'un sujet qui nous concerne tous, la 
        disposition clandestine des déchets dangereux plus particulièrement ceux 
        radioactifs et les tentatives   | 
      
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        Brunetti, désolée, je ne l'aime pas, il 
        ne m'est pas sympathique... j'ai calé sur le 3ème ou 4ème livre.   | 
      
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        Pour en revenir à Brunetti, j'ai pu lire 
        toutes ses aventures avec divers degrés de satisfaction...   | 
      
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        Je n'ai pas encore lu "De sang et 
        d'ébène"...mais les 2 précédents m'avaient plutôt ennuyée!
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        Si certains 
        D.L...sont intéressants...faut les déguster épisodiquement...
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        Éditions : 
        Livre de 
        poche  | 
      
        
         Henry James 
 
        
        Présentation de l'éditeur :  Le 
        secret. La mort. Ce sont sans doute les deux clés de toute l'œuvre de 
        Henry James. En ce sens, Les Papiers de Jeffrey Aspern est 
        peut-être le plus exemplaire de ses romans.   | 
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         À 
        propos d'Henry James, je suis en train de terminer Les papiers de 
        Jeffrey Aspern... Je me demande si je ne devrais pas le lire en 
        anglais, je n'ai pas du tout aimé le style en français et l'histoire m'a 
        quelque peu ennuyée... Quelqu'un l'a-t-il lu?   | 
      
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         Oh, 
        Livia...justement, je me disais que je n'avais rien dit de ce livre, (Les 
        papiers de Jeffey Aspern) terminé il y a une quinzaine de jours...et 
        moi, en revanche: j'ai beaucoup aimé!   | 
      
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         Tout 
        comme vous Martine, j'ai également goûté avec beaucoup de plaisir ces 
        fameux papiers  | 
      
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         Je 
        n'ai pas été subjuguée par ces "papiers là"...je n'ai pas honte de le 
        dire....j'ai lu, depuis, des histoires bien plus passionnantes  | 
      
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      Barocco 
        
        
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       Zen  | 
      
       
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        Éditions : 
        Gerhart Ellert
        
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         de Gerhart Ellert 
 Présentation de l'éditeur : 
        
        Roman 
        historique...  
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         Lu  | 
      
         
        
        
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        Le vieux doge, 
        émouvant sous la plume d'Ellert, parvient à nous faire oublier que 
        finalement ce sont des hommes portant la Croix qui facilitèrent la tâche 
        des Ottomans pour infliger au monde chrétien des dommages incalculables 
        ...encore palpables aujourd'hui.   | 
      
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        Éditions : 
        Payot & Rivages  | 
      
        
         Bernadette Chovelon 
 Présentation de l'éditeur : 
        
        " La 
        postérité répétera nos noms comme ceux des amants immortels qui n'en ont 
        plus qu'un à eux deux, comme Roméo et Juliette, comme Héloïse et Abélard 
        ", écrit Alfred de Musset à George Sand le 2 août 1834. Il est pourtant 
        rentré seul de Venise, y laissant sa compagne de voyage avec un nouvel 
        amant... Bernadette Chovelon, professeur de littérature à l'université de Grenoble, est notamment l'auteur de George Sand et Solange, sa fille (Christian Pirot, 1994) ainsi que de La Chartreuse de Valldemosa. George Sand et Chopin à Majorque, en collaboration avec Christian Abbadie  | 
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        Ou les amours de 
        Sand et de Musset ...au fait , elle a vécu ailleurs qu'au Danieli.   | 
      
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        Éditions : Payot - Rivages  | 
      
         
        Pietro Querini par Benjamin Guérif 
        
        Présentation de l'éditeur :  
        
        Ce récit épique se fonde sur 
        l’authentique journal de bord du véritable Querini, personnage 
        passionnant hors du commun, ainsi que sur les témoignages recueillis 
        auprès de marins survivants. Grâce au pouvoir d’évocation de l’auteur, à 
        son talent de conteur, le lecteur, captivé, vit intensément chaque 
        instant (la tempête, le naufrage, le froid, la mort, la survie sur des 
        îles désertiques, les saisons boréales…). Le roman est aussi extrêmement 
        littéraire de par la qualité rare de son écriture, d’une beauté 
        classique à la façon d’un récit de voyage ancien.   | 
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        Les quelques 
        libraires que j'ai interrogés ne le connaissaient pas avant de tapoter 
        sur leur engin et de toute façon, il faut le commander pour l'avoir.   | 
      
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        Je suis pas loin 
        de penser comme Jas, je n'ai pas terminé le bouquin, mais ça manque 
        singulièrement de peps et d'info sur la vie des marins au 15e s.   | 
      
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        Certes, certes, le 
        début est plus que laborieux et sans intérêt. On se pose même la 
        question de l’utilité de certaines scènes … Mais le récit prend vraiment 
        de l’ampleur par la suite, et on assiste à cette lente, terrible et 
        inexorable chute vers un inconnu qui recule toujours et encore. Quand 
        Jas dit qu’il voulait ressentir ce que les marins avaient ressenti dans 
        ce voyage vers l’abîme, je trouve que l’évocation est forte et vraie.
          | 
      
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        Oui Blandine, je 
        l’avais remarqué
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        heu, c'est que 
        moi, je n'ai pas lu les documents d'origine
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        D'accord
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        Je viens d’achever 
        les récits des Naufragés. Oui, bien sur, après cette lecture, on 
        a un autre regard sur le roman.   | 
      
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        Éditions : 
        Anacharsis  | 
      
        
         par Pietro Querini Cristoforo Fioravante & Nicolò de Michiel Présentation de l'éditeur : Des Vénitiens en Chine, soit ; mais en Norvège ! Partie de Crète pour les Flandres en avril 1431, la nef Querina n'y accosta jamais, balayée par une tempête qui, durant cinq semaines, la fit dériver toujours plus au nord. Quittant l'embarcation folle dans une simple chaloupe, les marins échouèrent sur une île déserte au large des îles Lofoten où les onze survivants furent secourus un mois plus tard, en février 1432. Captivants et terribles, les deux témoignages, divergents et complémentaires, du marchand Pietro Querini, capitaine du navire, et de deux officiers de bord, Nicolo de Michiel et Cristoforo Fioravante, ont une force et une capacité d'émotion stupéfiantes. Une première traduction qui révèle un chef-d'oeuvre d'autobiographie. Ph.-J. C. Traduit du vénitien par Claire de Larivière  | 
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        Le 
        Monde des livres du 27 avril 2006.   | 
      
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        N’abordez pas ce 
        livre comme un roman au risque d’en être déçu, quoique j’y aie trouvé la 
        même tonalité que le début du Robinson Crusoé de De Foe.   | 
      
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        Pour répondre à Jas quant à la force d’évocation du récit de Querini, et 
        bien je trouve qu’il nous entraine à sa suite avec beaucoup d’émotion : 
        le détail de ses souffrances et de sa peur est suffisamment explicite 
        pour qu’on ressente avec lui les épreuves qu’il a traversées ! Il 
        apostrophe à plusieurs reprise le lecteur, ce qui me semble être tout à 
        fait nouveau dans les récits de cette époque. Quelle aventure extrême !  | 
      
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        Éditions : 
      Seuil 
           | 
      
      
       Hanns-Josef Ortheil 
 
        
        Présentation de l'éditeur :  
      
      Par un soir de 
      chasse sur la lagune embrumée, le comte di Barbaro fait une étrange 
      découverte. Dans les roseaux s'est prise une barque ou gît un jeune homme 
      entièrement nu et d'une fabuleuse beauté. Apparemment mort, l' " enfant 
      sauvage " finit par se réveiller, sans pouvoir cependant se souvenir de 
      ses origines. Une fois recueilli dans le palais du comte, Andrea manifeste 
      l'étonnant don d'observation qui fait de lui, peu à peu, un dessinateur et 
      un peintre génial. La jeune Caterina Nardi, voisine du comte, aimée de lui 
      en secret, remarque le jeune homme et en fait, après son propre mariage 
      avec le frère du comte, le sigisbée officiel admis par la société de 
      l'époque. Celle de la Venise du XVIIIe siècle finissant, avec ses 
      intrigues, son faste, sa vie foisonnante et surtout sa lumière, ses 
      lumières. Flammes de l'amour tragique et couleurs somptueuses enveloppent 
      cet étrange génie qui préfigure Turner.   | 
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      J'ai mis la 
      main sur ce roman (mais ne l'ai pas encore lu)...extrait de la presse:   | 
    
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        Éditions : 
        
        Abbeville 
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        Bantock, Nick Présentation de l'éditeur : "L'étrange et sensuelle histoire d'un voyageur de la Renaissance, d'un ordinateur et d'une métamorphose. Sara s'ennuie au musée où elle travaille à restaurer des tableaux, jusqu'au jour où un mystérieux correspondant, par message électronique interposé, lui propose de l'aider à retrouver des miniatures indiennes disparues. Sara se lance dans l'aventure, dont nous prenons connaissance par l'intermédiaire de son journal électronique. Au bout de sa quête, elle trouvera l'amour." 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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        J'ai 
        l'impression que ce livre" la femme du Vénitien" est "un peu" 
        particulier.   | 
      
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        Bonjour 
        Danielle,   | 
      
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        Chère Livia,
          | 
      
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        Éditions : 
        Pimientos  | 
      
         
        
        
        "Venise au fil des mots" 
         
 
 Présentation de l'éditeur : Florilège de textes sur Venise, pour marcher dans les pas des grands auteurs (Aragon, Balzac, Chateaubriand, Flaubert, Musset, Proust, Stendhal, Malraux etc...) dans la cité des doges. A lire avant, pendant ou après vos visites... 
 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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        nouvelle acquisition qui vient compléter 
        mes rayonnages vénitiens;   | 
      
| 
         
        Au fil des 
        mots".... un peu déçue
          | 
      
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        Éditions : 
        Pimientos  | 
      
        
         par Gabriella Zimmermann 
 Présentation de l'éditeur : 
        Second volet d'un 
        diptyque vénitien, cet ouvrage vous propose de découvrir les plus belles 
        pages de l'histoire de Venise à travers la littérature occidentale, les 
        témoignages de voyageurs de passage dans l'illustre cité et quelques 
        coupures de presse relatant les tout derniers événements.   | 
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        Encore 
        une fois, l'auteure fait preuve d'originalité, bravo pour son travail de 
        compilation.   | 
      
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        Éditions : 
        du Gref  | 
      
        
         Chantal Robillard Présentation de l'éditeur : Une journée "culture à l'hôpital" : deux jeunes intervenants, comédiens et musiciens, vont lire en musique des textes aux malades. Un public inhabituel, qui souffre, physiquement et souvent moralement. Ils ont justement choisi comme thème le conte de Cendrillon. De service en service, des grands prématurés aux personnes âgées, ce seront des variations tantôt gaies, tantôt graves sur ce thème qui parle de la maltraitance. Des textes pour rêver, des textes pour penser. Un voyage à travers les époques, les pays. Les registres de langue aussi : surveillez donc les voyelles qui font parfois l'école buissonnière ... un voyage pour oublier quelques minutes, quelques quarts d'heure, la souffrance de chacun d'entre nous. Avec humour et humanité, Chantal Robillard nous dresse dans ce roman un portrait de nos misères, de nos espérances. A l'hôpital, précisément, où elles sont ravivées, où l'intime est confronté à la multitude et à la douleur de se reconstruire. 
        Née
        en Auvergne, Chantal Robillard vit à Strasbourg. Elle est conservatrice
        en chef et conseillère pour le livre et la lecture à la Direction
        régionale des affaires culturelles d'Alsace. Chantal Robillard, Campielliste de fraîche date, s'est rapidement intégrée à la joyeuse équipe du Forum  | 
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      "
      I merletti di Cenerentola
      "  
      Titre d'une des
      nouvelles de cet ouvrage, est une variation sur le thème de Cendrillon
      transposé dans la Venise actuelle ... actuelle ?  ... Dans un
      langage clair ne manquant pas de poésie, Chantal nous entraîne par
      d'imperceptibles glissements dans un récit où réalité, fiction, hier
      et maintenant s'interpénètrent fugitivement ... jusqu'à une
      révélation qui va ravir, j'en suis certain, plus d'une Campielliste 
      ;-)  | 
  
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      Martine 
        
        
          | 
      
       
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        Éditions : 
        Timée  | 
      
        
         D'Yves Jégo et Denis Lépée. 
        
        Présentation de l'éditeur :  
        1510. Dans la Florence flamboyante de la 
        Renaissance, la ravissante Gabriela Benci supplie un Léonard de Vinci 
        vieillissant d'achever le portrait de sa mère disparue. Au même moment, 
        dans le duché de Brabant, une série de meurtres terrifiants concentre 
        tous les regards sur le grand peintre Hyeronimus Bosch. Sans le savoir, 
        Gabriela est déjà plongée au coeur d'une effroyable machination. De 
        Milan à Venise, du royaume de France au palais du Vatican, commence pour 
        elle une enquête aussi dangereuse que fascinante.  | 
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        Je viens juste de 
        le repérer en librairie. On annonce un passage de ce roman se passant à 
        Venise et le grand Jérôme cher à Danielle.   | 
      
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        BOSCH.... La Conspiration..... Commentaires   | 
      
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      Danielle 
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      Labeuquette 
          | 
      
       
      
      Martine 
        
        
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        Éditions : 
      Fayard  | 
      
      
       
      
      Predrag Matvejevitch 
        
        Présentation de l'éditeur :  
        
        Sculpteur de lumières ou tailleur d’ombres-? Predrag Matvejevitch n’a pas 
      peur d’affronter les évidences, car il sait pouvoir les retourner. Déjà 
      avec la Méditerranée (Bréviaire méditerranéen, Payot-Rivage, 1995), il 
      avait osé un bréviaire qui, après l’immense galion historique jadis écrit 
      par Fernand Braudel, avait transformé le regard porté sur ce milieu du 
      monde.   | 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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      Reçu 
      hier matin et terminé cette nuit. ....un beau récit très intimiste qui ne 
      nous apprend rien de bien nouveau mais qui s'attache à tout ce qui fait la 
      Venise mineure ( chère à mon coeur)....une belle plume au service d'une 
      ville que l'auteur connaît bien ...et qu'il aime ..tout simplement avec 
      douceur....et modestie, ce commentaire n'engage que moi....bien sûr.   | 
    
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       J'ai lu ce livre l'an dernier et je dois dire que j'ai beaucoup aimé. J'en relis d'ailleurs des passages de temps en temps. Un livre de chevet indispensable pour tous les amoureux de Venise. Livia  | 
    
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      c'est 
      exactement ça, Livia, et je ferai certainement comme vous....je vais le 
      consulter souvent car j'ai beaucoup aimé son ambiance...et puis, il 
      foisonne d'anecdotes qu'on aime à lire et relire...
        | 
    
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        Éditions : 
      du Rouergue  | 
      
      
       de Claudie Gallay 
 Présentation de l'éditeur : A quarante ans, quittée par son compagnon, elle vide son compte en banque et part à Venise, pour ne pas sombrer. C’est l’hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge l’arrachent à sa solitude. Il y a là un aristocrate russe en fauteuil roulant, une jeune danseuse et son amant. Il y a aussi, dans la ville, un libraire amoureux des mots et de sa cité qui, peu à peu, fera renaître en elle l’attente du désir et de l’autre. Dans une langue ajustée aux émotions et à la détresse de son personnage, Claudie Gallay dépeint la transformation intérieure d’une femme à la recherche d’un nouveau souffle de vie. Et médite, dans le décor d’une Venise troublante et révélatrice, sur l’enjeu de la création et sur la force du sentiment amoureux. 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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      Petite suggestion de 
      lecture : "Seule Venise" de Claudie Gallay   | 
    
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      J'ai beaucoup aimé 
      cette ambiance intime, genre dimanche au coin du feu, avec des personnages 
      sympathiques. Ce livre est très fluide et se lit "trop vite" comme disent 
      les plus jeunes ....   | 
    
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      Ce 
      bouquin m'a un peu déroutée au début par son style un peu ..disons spécial 
      ...mais ensuite je ne l'ai plus lâché et j'ai beaucoup aimé cette 
      atmosphère et cette intrusion dans la Venise brumeuse et froide ..à 
      l'extérieur ..mais chaleureuse entre les êtres ...une belle histoire 
      attachante  | 
    
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      Macha  
      
        
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        Éditions : 
        Phébus  | 
      
      
       de Niccolo Manucci 
        
        Présentation de l'éditeur :  
      
      Après Marco , 
      Niccolo   | 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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      Un livre passionnant 
      dans lequel la réalité dépasse largement la fiction . On ne peut 
      s'empêcher de penser au fameux "Livre des Merveilles" de Marco Polo , la 
      fantasmagorie en moins ...  
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        Éditions : 
        Gallimard  | 
      
      
       Philippe Delerm 
 Présentation de l'éditeur : «Toute une foule, vue de dos ou de profil, assistant à un spectacle invisible. Au loin, la mer. Une facture surprenante. Des personnages saisis dans des attitudes familières au cours d'une scène publique. Mais le vrai secret, c'était le personnage grimpé sur un tabouret et qui tient à la main une longue badine, ou une espèce de perche, dont l'extrémité atteint le centre de la scène. Quel sens donner à son geste ?» 
 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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      Je viens de lire la 
      critique (bonne) de   | 
    
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      je viens de 
      lire dans la revue POINT de VUE..une petite analyse critique du dernier 
      livre de Philippe Delerm...je vous la livre... 
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      Je viens de 
      commencer la lecture de ce petit livre et je dois dire que pour le moment 
      ça me plaît. On y parle pas mal du campo situé près du Campiello (campo 
      Santa Margherita). Y'en a-t-il d'autres qui l'ont lu ?    | 
    
| 
       
      ...il était 
      dans le rayon nouveauté de la bibliothèque communale, je n'ai donc pas 
      hésité à le prendre.   | 
    
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      Danielle
      
          | 
      
       
      Zen 
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      Macha 
          | 
      
       
      Martine 
      
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        Éditions : 
      Gallimard  | 
      
      
       Danièle Sallenave 
 
        
        Présentation de l'éditeur :  
      Venise, 1893. Le passé glorieux de la ville est derrière elle, mais sa 
      beauté dégradée demeure saisissante ainsi que la vie intense des quartiers 
      populaires. Il ya là de quoi changer un destin, faire basculer une vie.  | 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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      "La fraga" 
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      Lu dans "Point 
      de vue " de cette semaine...   | 
    
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      Je viens de 
      terminer..La Fraga"..........c'est dire que ce roman m'a plu car je l'ai 
      lu presque d'une traite.........Au fil des pages, on suit les déplacements 
      de l'héroïne dans Venise, on situe l'histoire..et puis ...enfin je parle 
      de mon "ressenti" (sais pas si le mot existe
        | 
    
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      Zen 
      
          | 
      
       
      Macha 
      
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        Éditions : 
      Seuil  | 
      
       Petit guide sentimental de Venise Paolo Barbaro. 
        
        Présentation de l'éditeur :  
      
      
      Qui n'a pas rêvé d'avoir pour compagnon de voyage à Venise un vrai 
      connaisseur qui le guide dans le labyrinthe? Parce ce qu'il aime sa ville 
      plus que tout au monde, Paolo Barbaro a écrit ce «petit guide sentimental» 
      à l'usage des visiteurs qui ne se satisfont pas d'un week-end hâtif dans 
      la cité des doges. Ce sont les Vénitiens de souche qui apparaissent dans 
      ces pages, avec leur tracas et leurs bonheurs, leurs émerveillements 
      qu'ils partagent avec nous, leurs protestations contre la dégradation de 
      leur ville. Grâce à quelques cartes précieuses, un glossaire, un index, 
      nous voici parés pour nous aventurer le long des canaux dérobés, dans les 
      ruelles qui échappent au flux des touristes. Et nous écoutons la voix d'un 
      grand écrivain qui accepte de livrer ses secrets pour nous faire mieux 
      connaître et aimer sa ville, pour nous convaincre d'y revenir et, qui 
      sait, d'y vivre.   | 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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      J'ai commencé ce 
      bouquin il y a peu donc je ne vous en dirais pas grand-chose hormis que ça 
      s'annonce assez bien... Paolo Barbaro, l'auteur, vénitien de naissance, 
      revient vivre à Venise après plusieurs années 'd'exil" professionnel si 
      j'ai bien compris. Mais ce que je trouve étonnant, c'est qu'en lisant ce 
      livre, je fais souvent le rapprochement avec Jas. J'avais même souligné ça 
      dans mon message mais j'ai effacé en me disant que ce n'est qu'une 
      impression...C'est pas un roman, c'est pas un guide, c'est mieux que le 
      Vircondelet (moins pompeux). Quelqu'un peut-il en parler???????  
        | 
    
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      TITE JOËLLE.... 
      C'est bien, tu commences à découvrir les "arcanes" du Campiello, comme me 
      disait Danielle, il n'y a pas si longtemps.... Le "Petit Guide 
      Sentimental", comme les Lunaisons Vénitiennes et tous les livres de Paolo 
      Barbaro, sont pour nous, les campiellistes, des "must" incontournables 
      depuis bien longtemps.... Il est ingénieur hydraulique, et ne s'appelle 
      pas du tout Paolo Barbaro....... Si tu visites bien le site de JAS... tu 
      trouveras son vrai nom.... Bonne lecture.... Ce livre est à apprendre PAR 
      COEUR...   | 
    
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      Mon impression:   | 
    
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      J'aime beaucoup , 
      Livia , la seconde partie de votre évocation .   | 
    
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       Je réveille un bien ancien post ! Je viens juste de lire « le petit guide » de Paolo Barbaro. Effectivement Joëlle et Ticha j’ai les mêmes sentiments que l’auteur, cette inévitable nostalgie. Je crois que ce livre s’adresse avant tout aux vénitiens, j’en avais la gorge serrée à certaines pages … 
      
      Mais le déplacement des 
      habitants des centres historiques urbains vers la périphérie, n’est pas un 
      phénomène uniquement vénitien, il est identique dans toutes les anciennes 
      métropoles de la vieille Europe. 
      Ma note 
      : 
        
        
         
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        Éditions : 
      L'Infini 
           | 
      
      
       Alain Fleischer 
 Présentation de l'éditeur : À Venise, ville indéfiniment plongée dans ce que les photographes appellent un bain d'arrêt – entre révélation et fixation des images –, le narrateur, David Fischer, est à la recherche d'une histoire dont on ne sait s'il doit la retrouver ou l'inventer. Il rencontre là deux figures essentielles : celle du vieux maître à penser, l'éternel survivant (le prince juif Avigdor Sforno), et celle de la jeune maîtresse perdue, l'éternelle revenante (une nageuse praguoise en qui il voit la réincarnation d'une noyée de Buenos Aires : Stella). Le premier n'est là que pour disparaître, après avoir survécu à tout, remettant enfin son destin entre les mains de son biographe. La seconde, après être réapparue, n'est là que pour survivre – vivre plus – en se dédoublant encore, pour déjouer le double, ou la doublure, que son amant voit en elle.  | 
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         Lu  | 
      
         
        
        
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      Ma période préférée 
      de l'année!!   | 
    
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        Éditions : 
      Paris  | 
      
      
       Mireille Calmel 
 
      Dans 
      la série Lady Pirate..."La parade des ombres"...grosse brique de 492 
      pages...Mireille Calmel (Le lit d'Aliénor, Bal des loups) entraîne pour sa 
      deuxième aventure, l' héroïne à. ..Venise
       Stef* (sur le forum le 27 juin 05)  | 
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      J'ai suivi une 
      émission il y a quelques semaines sur Europe 1, qui avait comme thème ce 
      bouquin. L'auteur ne m'a pas emballée ( je redoute un peu cette 
      littérature de bonne femme, pleine de clichés) mais le récit m'a tout de 
      même paru bien documenté. Donc, Stef*** à toi de jouer et de te 
      lancer....Tu nous diras
        | 
    
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      Joëlle, ton 
      impression, après lecture, est mienne.   |